Paroles d’encouragement pour des parents dont l’enfant est malade. Un message de Jésus, reçu en prophétie En général, c’est beaucoup plus difficile pour des parents de voir leur enfant être malade et souffrir que d’endurer eux-mêmes la maladie. Mais lorsque vous êtes confrontés à une situation de ce genre, rappelez-vous que Je peux faire surgir la beauté dans les situations les plus tristes et les plus pénibles et leur donner un sens. Que votre enfant ait un gros rhume ou la grippe, ou bien qu’il souffre d’une maladie chronique, ou qu’il soit hospitalisé, sachez que Je veille sur lui. J’aime votre enfant et tout ce que Je fais est bien. Si vous êtes en proie à une telle épreuve, rappelez-vous que Je connais votre enfant mieux que vous et que Je l’aime encore plus tendrement et profondément que vous. Je suis si fier de vous parce que vous affrontez cette grave difficulté dans la vie de votre enfant avec foi et confiance en Moi. Je sais que ce n’est pas facile à endurer. C’est très douloureux. Je suis très fier de vous et du fait que vous Me faites confiance pour vous aider à ressortir vainqueurs de l’épreuve, malgré que ce soit très pénible sur le moment. Je vous promets de vous aider à la surmonter. Mes anges et Moi, nous sommes à vos côtés pour vous apporter la paix, le réconfort et la grâce surnaturelle qui vous aideront à surmonter l’épreuve. J’envoie des vagues de réconfort et des ondes de grâce et de guérison à votre enfant. Je vous bénis en vous donnant la guérison, le secours, l’espoir, le courage et la foi, et en vous montrant le chemin de la victoire dans ces circonstances. Je ne permettrai jamais que vous enduriez une épreuve qui soit au-dessus de vos forces. Je ne permettrai jamais que votre enfant endure quelque chose qu’il ne puisse supporter. Je ne manquerai pas d’honorer Ma promesse dans la vie de votre enfant. Je ferai une issue de secours. Avec le temps, tout passe, même les choses qui nous donnent l’impression qu’elles dureront toujours. Alors, quand les épreuves que la vie vous envoie deviennent insupportables, lorsqu’elles vous paraissent cruelles et que vous n’en voyez pas la fin, faites-Moi confiance, Je vous promets qu’elles ne dureront pas toujours. Tout cela finira par passer au moment exact que J’ai fixé. Et en attendant que la bataille soit terminée, Je déverserai sur vous Ma grâce en abondance. Lorsque votre enfant souffre et endure des épreuves, sachez que Je suis avec lui pendant ces moments difficiles. Même si la guérison ne survient pas immédiatement, vous pouvez être certains que Je comble son cœur et son esprit de précieux trésors. Lorsque votre enfant est malade, cela peut paraître logique de penser que Je suis loin de vous ou de votre enfant. Mais rien n’est moins vrai. C’est dans ces moments-là que Je suis le plus proche. Je donne Ma grâce à votre enfant au moment où il en a le plus besoin. Je ne laisse jamais Mes enfants sans aucun réconfort.
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Peggy Porter
Mon fils Gilbert, alors âgé de huit ans, était louveteau depuis peu. À la fin d’une réunion, il s’était vu remettre un morceau de bois, quatre roues et une feuille d’instructions. Le tout devait être « confié à papa » dès son retour à la maison. Pour Gilbert la chose était difficile, car papa n’était pas très enclin à bricoler avec son fils. Malgré tout, il tenta sa chance. Papa lut la notice et se contenta d’en rire. Confectionner une voiture de course avec son gamin à partir d’un morceau de bois ? L’idée était par trop cocasse ! Les semaines passèrent, on oublia le morceau de bois. Pour finir, maman (moi-même) décidait de venir en aide à son garçon : elle y comprendrait peut-être quelque chose... Nous nous attelâmes au projet. N’étant pas très douée pour la menuiserie, je me bornais à lire les instructions tandis que Gilbert les exécutait. Et il fit de son mieux. Quelques jours plus tard, son morceau de bois s’était transformé en voiture de course. Elle était un peu bancale, certes, mais elle était splendide ― aux yeux de maman tout au moins. Gilbert, qui n’avait pas encore vu les voitures de ses camarades, se sentait assez fier de sa « formule 1 », et surtout d’avoir réalisé quelque chose par lui-même. Puis le soir tant attendu arriva. Voiture en mains, fierté au cœur, Gilbert se rendit avec moi sur les lieux du départ. C’est alors que cette fierté fit place à la plus profonde des humiliations. De toute évidence, sa voiture était la seule à avoir été construite sans l’aide d’un adulte. Toutes les autres, manifestement, étaient le fruit d’un partenariat père-fils, comme en témoignaient leurs lignes élégantes et leurs magnifiques décorations de peinture. Certains garçons étouffèrent quelques ricanements à la vue du pauvre véhicule de Gilbert, branlant, instable et sans attraits. Pour ajouter à l’humiliation, Gilbert était le seul garçon qui ne fût pas accompagné d’un homme. Deux de ses camarades n’avaient pas de papa, mais l’un avait invité son oncle, l’autre son grand père. Gilbert n’avait que sa maman. Pour la course, on procéda par élimination. Deux voitures s’élançaient, la gagnante de ce premier duel concourait avec la suivante et ainsi de suite. La voiture de Gilbert parvint en finale et se retrouva opposée au plus élégant, au plus rapide, au plus racé de tous ces « bolides ». Au moment même où allait être donné le signal du départ, mon gamin de huit ans demanda timidement, les yeux écarquillés, qu’on suspende la course pendant une minute, afin de lui donner le temps de prier. La compétition fut donc suspendue. Gilbert se laissa tomber sur les genoux en serrant dans ses mains son étrange morceau de bois. Les sourcils froncés, il conversait avec Dieu. Pendant une minute et demie, il pria avec une grande ferveur. Puis il se releva le visage illuminé d’un sourire, et annonça : « Ça y est, je suis prêt ! » Sous les applaudissements de la foule, un garçon nommé Tommy, au côté de son papa, regardait leur voiture dévaler la rampe. Gilbert, lui aussi, au côté de Son Papa — Son Papa du Ciel — regardait son morceau de bois s’élancer tant bien que mal. Mais ce dernier finit par atteindre une vitesse surprenante et franchit la ligne d’arrivée une fraction de seconde avant la voiture de Tommy. Gilbert sauta en l’air en criant : « Merci ! » tandis que de la foule s’élevait un tonnerre d’applaudissements. Le chef scout s’approcha de Gilbert, le micro à la main, pour lui poser la question que tout le monde attendait : ― Alors, Gilbert, tu as prié pour gagner, n’est-ce pas ? ― Oh non monsieur, répondit-il, ça n’aurait pas été juste de demander à Dieu de m’aider à battre quelqu’un. Je Lui ai demandé de m’aider à ne pas pleurer au cas où je perdrais. Oui, Gilbert avait bien gagné ce soir-là, avec son Papa à ses côtés. ― Par Jo Dias
Malheureuse ! Oh que j’étais malheureuse. Je n’ai pas d’autre mot pour décrire mon état d’âme ce jour-là. Mon mari avait dû partir en voyage. Une fois de plus ! Et je me retrouvais toute seule avec nos quatre enfants. Nous n’avions pas beaucoup d’argent, j’avais des problèmes de santé et mon aînée faisait sa crise d’adolescence. En regardant par la fenêtre je voyais les arbres osciller au gré de la brise. C’est alors que je remarquai un petit écureuil insouciant qui s’amusait à monter et descendre les arbres en criant de toute la force de sa voix. J’enviais la drôle de petite bête... Soudain, mon écureuil choisit de changer de tactique. Au lieu de monter et descendre le long des troncs, il se mit à sauter d’arbre en arbre. Ayant atteint le dernier arbre du bosquet, il pointa son regard dans la direction d’un autre qui se trouvait un peu à l’écart. Sans doute était-il en train de délibérer… J’évaluai mentalement la distance qui le séparait de cet arbre, et j’estimai qu’il lui faudrait sauter deux ou trois fois plus loin qu’auparavant. Quel redoutable défi ! « Tu n’y penses pas, petite bête, » murmurai-je. Mais il n’avait que faire de mes avertissements. Il courut à plusieurs reprises le long de la branche, en couinant désespérément. Tout à coup, il s’arrêta, mesurant des yeux, encore une fois, la distance à parcourir. Puis il s’accroupit, et s’élança… Je voulais détourner mon regard : l’aventure allait sûrement mal se terminer ! Mais non, pas du tout ! Il traversa l’immense espace et atterrit sur l’arbre avec l’aisance et la grâce de ceux qui se savent faits pour accomplir de tels exploits. Il fit entendre des petits cris de victoire puis, en gambadant, monta plus haut dans l’arbre, comme s’il allait chercher sa récompense. Alors j’ai su ce qui n’allait pas chez moi. J’étais tellement absorbée par mes problèmes, occupée que j’étais à mesurer la distance qui me séparait des arbres, que j’avais peur de lâcher prise et de m’élancer. J’avais perdu foi en mon Créateur, mon Sauveur, mon meilleur Ami. En observant l’écureuil qui, à présent, poussait des petits couinements de joie à la cime de son arbre, je savais que Dieu avait veillé sur lui : Il allait aussi veiller sur moi. — Saskia Smith
Aux yeux d’un enfant, nul n’est plus beau que sa maman qui l’aime. Lorsqu’il regarde sa maman, il ne s’inquiète nullement de savoir si elle est à la mode, si sa coiffure lui va bien, si ses bijoux sont bien choisis ou si ses ongles sont impeccables... Il ne prête aucune attention à ce genre de considérations qui tendent à fausser le jugement des adultes. C’est pourquoi l’enfant est meilleur juge. Il sait ce qui fait la vraie beauté d’une femme. Où l’enfant trouve-t-il cette beauté ? Dans les yeux qui brillent de fierté lorsqu’il fait des progrès… Dans la bouche qui l’encourage et qui l’instruit… Dans les baisers qui effacent ses bobos… Dans la voix apaisante qui le berce et lui fait retrouver le sommeil après un mauvais rêve… Dans l’amour cajoleur d’une douce étreinte... Et d’où provient cette beauté ? Être maman, c’est donner de soi-même. Mais le don de soi produit l’humilité. L’humilité produit la grâce. Et de la grâce provient la vraie beauté. Lorsqu’elle donne d’elle-même à son enfant, une mère incarne la vie, l’amour et la pureté. Et, en cela, elle reflète l’amour que Dieu porte à Ses enfants. C’est pourquoi je crois que rien au monde ne peut rendre une femme plus belle que le fait d’être mère ! Un diaporama pour les parents.
Une jeune maman s’engageait sur le chemin de la vie. « La route sera-t-elle longue ? » demanda-t-elle. « Longue et accidentée, lui répondit son guide. Mais la fin en sera plus belle encore que le commencement. » Quoi qu’il en soit, notre jeune maman était heureuse, et, à ses yeux, rien ne pouvait surpasser le bonheur qu’elle éprouvait. Elle se mit donc à jouer avec ses enfants, elle leur cueillit des fleurs sur le bord du chemin, elle se baigna avec eux dans les eaux cristallines d’un ruisseau. Le soleil leur souriait et si bonne était la vie qu’elle s’exclama : « Non, rien ne pourra jamais être plus beau que ça ! » La nuit tomba, puis la tempête se leva. Le sentier s’obscurcit, les enfants se mirent à trembler de froid et de peur. La maman les prit dans ses bras et les couvrit de son manteau. Les enfants lui dirent : « Oh ! maman, nous n’avons pas peur parce que tu es là, le danger ne peut pas nous atteindre. » Et la maman se prit à penser : « C’est encore plus beau que la splendeur du soleil, car aujourd’hui j’ai enseigné le courage à mes enfants. » Le matin fit son apparition. Il leur fallait gravir une colline. Excités, les enfants se mirent à l’escalader mais ils ne tardèrent pas à s’épuiser. La maman, épuisée elle aussi, ne cessait pourtant de les encourager : « Juste un peu de patience et nous sommes arrivés ! » Les enfants aussitôt se remirent à grimper et, parvenus au sommet, s’écrièrent : « Maman, nous n’y serions pas arrivés sans toi ! » Et, ce soir-là, la maman s’endormit sous les étoiles en se disant : « Aujourd’hui a été encore plus beau qu’hier, car mes enfants ont appris à persévérer dans l’épreuve. Hier, je leur ai apporté le courage, aujourd’hui, la force. » Mais le lendemain, d’étranges nuages vinrent obscurcir la terre, des nuages maléfiques, porteurs de haine et de guerre. Les enfants cherchaient leur chemin à tâtons et trébuchaient. La maman leur cria : « Levez les yeux. Regardez en haut, vers la Lumière ! » Alors les enfants regardèrent et aperçurent, par-delà les nuages, une Gloire éternelle, et cette Gloire les guida à travers les ténèbres. Ce soir-là, la maman se dit : « C’est le plus beau jour de ma vie, car je leur ai montré Dieu. » Les jours passèrent, puis les semaines, les mois, les années... La maman prit de l’âge, se courba, se tassa. Mais ses enfants, eux, devinrent grands et forts, et ils marchaient avec courage. Quand le chemin se faisait difficile, ils lui venaient en aide, et quand il était rocailleux, ils la portaient dans leurs bras car elle était légère comme une plume. Enfin, ils parvinrent à une colline d’où l’on apercevait une route baignée de lumière et une porte d’or qui s’ouvrait toute grande. Et la maman leur dit : « Mon voyage touche à sa fin. Maintenant, je sais que la fin de la route est encore plus belle que le commencement, car, à présent, mes enfants sont capables de marcher tout seuls, et les enfants de mes enfants. » Ses enfants lui répondirent : « Maman, tu continueras de nous accompagner, même après avoir franchi cette porte. » Et là, sous leurs yeux émus, elle s’avança seule jusqu’à la porte qui lui tendait ses bras, et celle-ci se renferma doucement derrière elle. Et ils se dirent : « On ne peut plus la voir, mais elle demeure avec nous. Une maman comme la nôtre est plus qu’un souvenir, c’est une présence vivante. » - Auteur anonyme (traduit de l’anglais) |
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