Montrer à vos enfants qu’ils comptent pour vous ! Voici quelques idées pour vous mettre sur la voie...
1. Dites-le leur avec des mots. « Je t’aime » : rien de tel que ces trois mots pour leur faire savoir que vous les aimez. Alors, dites-les souvent. 2. Dites-leur pourquoi vous les aimez. Pourquoi vos enfants est-elle importante à vos yeux ? N’ayez pas peur de lui dire, et de façon précise. À la moindre occasion, faites-lui savoir que vous l’admirez, ou que vous l’appréciez. 3. Prenez le temps de les aimer. Passer du temps avec vos enfants, c’est comme lui dire : « Tu es plus important pour moi que toutes les autres choses que je pourrais faire en ce moment. » 4. Faites preuve de constance. Lorsque tout va bien, le fait d’exprimer votre amour fera que les choses iront encore mieux. Et si ça va mal, l’amour pourra tout changer. 5. Montrez-leur de l’affection. Serrez-vous dans les bras l’un de l’autre. N’ayez pas peur de vous toucher. La science a prouvé que le toucher est bénéfique, tant sur le plan physique que mental et émotionnel. 6. Écoutez-les avec votre cœur. Faites l’effort de découvrir qui est vraiment vos enfants, pour la comprendre, au lieu de supposer que vous la connaissez déjà. 7. Montrez-leur du respect Les relations saines sont bâties sur l’admiration et le respect mutuels. Recherchez les occasions de montrer à vos enfants que vous croyez en eux. 8. Mettez-les en premier. Le fait de donner la priorité aux besoins et aux désirs de vos proches montre que leur bien-être et leur bonheur sont plus importants pour vous que les vôtres. 9. Baissez votre garde. Il est souvent humiliant de s’ouvrir aux autres et d’accepter d’être vus par eux tels que vous êtes, mais c’est le prix à payer si vous recherchez l’unité de cœur et d’esprit.
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Lent à suspecter, prompt à faire confiance. Lent à condamner, prompt à innocenter. Lent à accuser, prompt à défendre. Lent à exposer, prompt à protéger. Lent à juger, prompt à l’indulgence. Lent à déprécier, prompt à apprécier. Lent à réclamer, prompt à donner. Lent à provoquer, prompt à consoler. Lent à te venger, prompt à pardonner. *** Une semaine avant sa mort, mon père me prit à part — j’étais alors en dernière année de faculté — pour me montrer des articles de journaux et de magazines qu’il avait rédigés puis cachés dans un petit coffret. Surprise, je lui demandai pourquoi il ne me les avait pas montrés plus tôt.
― Ta mère m’a découragé d’écrire parce que je ne suis pas allé à l’université, alors j’ai écrit en cachette, à son insu. Maman n’avait pas cherché à le décourager, elle n’avait fait qu’énoncer ce qui lui paraissait évident : sans éducation, on ne devrait pas écrire. Mon père ne s’était pas laissé démoraliser par cette attitude, néanmoins il avait « caché sa lumière », selon l’expression de la Bible. Entre autres, m’expliqua-t-il, il avait écrit un article pour la revue Advance, mais qui n’avait jamais été publié. ― Je suppose que là tout de même, j’ai visé un peu trop haut, conclut-il. Je fus profondément touchée qu’il se soit ainsi ouvert à moi de son désir d’écrire, et qu’il m’ait mentionné cet article ! Quelques jours plus tard, subitement, mon père mourait dans une station de métro de Boston. Le jour de son enterrement, paraissait le nouveau numéro d’Advance ― avec l’article de mon père, enfin publié. Je n’aurais jamais eu l’idée d’aller consulter ce magazine si mon père ne m’avait confié son secret. Aujourd’hui, l’article est encadré dans mon bureau, à côté de la photo de mon père, et chaque fois que j’y jette un coup d’oeil, je me demande quel écrivain il aurait pu devenir si seulement quelqu’un avait cru en lui. Nous vivons dans un monde qui tend à nous démoraliser, un monde peuplé de gens qui nous rabaissent. Quelle différence nous pourrions faire en faisant usage de ces simples mots : « J’ai confiance en toi ! » — Florence Littauer Un jour, j’observais des petits enfants jouer au football. Ils n'avaient que cinq ou six ans. Pourtant, ils jouaient un vrai jeu, tout à fait sérieux : avec deux équipes, entraîneurs, maillots et tout le reste. Les parents même étaient au rendez-vous. Ne connaissant personne, je pouvais prendre plaisir à observer le jeu sans m'inquiéter des résultats. J’aurais souhaité que les parents et les entraîneurs puissent en faire autant. Les équipes étaient assez bien équilibrées. Je les appellerai équipes A et B. Durant la première mi-temps, aucun but ne fut marqué. Les enfants s'amusaient comme des fous. Ils étaient maladroits mais, comme c’est le propre des enfants, avec tant de naturel et de ferveur ! Ils s'emmêlaient les jambes, trébuchaient, rataient le ballon, mais tout cela n'avait aucune importance : ils s'amusaient ! À la deuxième mi-temps, l'entraîneur de l'équipe A retira du jeu ses meilleurs éléments afin de donner une chance aux débutants, à l'exception de son joueur numéro un qu'il plaça comme gardien de but. Le jeu prit alors une tournure dramatique. J'imagine que gagner est important même quand on a cinq ans, car l'entraîneur de l'équipe B laissa en place ses meilleurs joueurs, face auxquels les débutants de l’équipe A n’étaient pas de taille. L'équipe B se pressait autour du gardien de but. Pour un petit gars de cinq ans, il se défendait très bien, mais il ne faisait pas le poids devant trois ou quatre autres de son niveau. L'équipe B se mit donc à marquer des points. Le petit gardien, isolé, se donna à fond, plongeant sur les balles avec bravoure, éperdument, pour tenter de les arrêter. L'équipe B ne tarda pas à marquer deux buts successifs. Le jeune garçon en était exaspéré. Comme un fou enragé, il criait, courait, et plongeait. Rassemblant toute son énergie, il parvint finalement à marquer l’un des garçons qui s'approchait du but. C'est alors que celui-ci fit une passe à l’un de ses coéquipiers à quelques mètres de là, et, avant que notre jeune gardien n’ait pu se repositionner : trop tard ! un troisième but avait été marqué. Je ne tardais pas à repérer ses parents : c'était des gens bien, qui faisaient bonne impression. Je notai que son père était venu directement de son travail, en costume, cravate etc. Les deux parents criaient des encouragements à leur fils. J'étais captivé, observant le garçon sur le terrain et ses parents sur la touche. Après le troisième but, un changement s’opéra chez le bambin. Il se rendit compte que c’était peine perdue : il n'arriverait pas à les arrêter. Il n'abandonnait pas pour autant mais, sans trop le montrer, il se laissait envahir par le désespoir. Un sentiment d’impuissance se lisait sur son visage. L’attitude de son père changea également. Jusque-là, il avait incité son fils à se battre en lui criant conseils et encouragements. Mais à présent il était angoissé. Il essaya de lui dire que tout irait bien, qu’il fallait s'accrocher… Mais on pouvait voir qu’il ressentait profondément la douleur de son gamin. Après le quatrième but, je pressentis ce qui allait se passer. C’était comme un déjà-vu. Le jeune garçon était désespéré, mais il n’y avait personne pour l’aider. Il retira le ballon du filet et le remit à l'arbitre, puis il se mit à pleurer. Il était là, debout, et de grosses larmes lui coulaient sur les joues. Il se laissa tomber sur ses genoux. Et c'est alors que je vis son père se diriger vers le terrain. Sa femme le retenait par le poignet : — Jean, non ! Tu vas l'embarrasser, suppliait-elle. Mais le père du garçon se dégagea et courut sur le terrain. Il n’en avait pas le droit car le jeu n'était pas terminé. Mais il fonça quand même, en costume, cravate, chaussures de ville… Il prit son fils dans les bras afin que tout le monde sache que c’était bien son fils. Il l'étreignit, l'embrassa et pleura avec lui ! Je n'ai jamais été aussi fier d'un homme de toute ma vie. Il le porta hors du terrain, et, lorsqu'ils parvinrent près de la touche, je l'entendis lui dire : — Je suis fier de toi, mon garçon. Tu as été formidable. Je veux que tout le monde sache que tu es mon fils. — Papa, sanglota le garçon, je n'arrivais pas à les arrêter. J'ai essayé, Papa, je n'ai pas arrêté d’essayer mais ils m’ont mis tous ces buts ! — Anthony, ne t’en inquiète pas. Tu es mon fils et je suis fier de toi. Je veux que tu retournes dans tes buts et que tu finisses le jeu. Je sais que tu as envie d'abandonner, mais tu ne peux pas. Et, mon garçon, ils vont encore te marquer des buts, mais ça ne fait rien. Vas-y, c’est le moment. Quelque chose avait changé — je pouvais le voir. Quand on est tout seul contre tous et, qu’en dépit de nos efforts on se fait battre, il est rassurant de savoir que, pour ceux qui nous aiment, cela n’a pas d’importance ! Le petit gars regagna sa place en courant. L'équipe B marqua encore deux buts, mais c’était sans importance. — Auteur anonyme — Keith Phillips
Une bonne communication repose sur quelques principes de base. Apprenez-les, vos relations en seront plus heureuses, plus fructueuses. Le tact Il est important d’être franc, mais il est non moins important de faire preuve d’amour et de considération dans votre façon de présenter les choses, surtout si votre enfant est susceptible de nature, ou que le sujet est un peu délicat. L’amour Vous serez peut-être maladroit dans vos paroles ou dans vos actes, mais si votre enfants voient que vous êtes motivé par l’amour, les petits problèmes ou les malentendus risquent moins de porter à conséquence. La positivité En général, la bonne humeur engendre la bonne humeur. Le moment opportun Savoir quoi dire est important mais, bien souvent, savoir quand le dire est tout aussi important. Et non moins important est de savoir quand ne pas dire quelque chose. Le sens de l’accueil On dira d’une personne qu’elle est accueillante si elle sait recevoir. Le dictionnaire propose ces synonymes : abordable, accessible, aimable, amical, bienveillant, etc. La prévenance Ecoutez ce que votre enfants ont à dire sans les interrompre, ni les presser, ni finir les phrases à leur place. Sachez écouter, il n’y a rien de mieux pour ouvrir la voie à un dialogue constructif. L’ouverture d’esprit Il y autant d’opinions et de façons d’aborder un problème qu’il y a d’individus. Le fait de laisser les enfants exprimer leurs idées et leurs sentiments témoigne de votre respect et favorise les échanges positifs, fructueux. Votre enfants seront d’autant plus à l’aise avec vous, d’autant plus enclins à vous demander conseil, qu’ils savent que vous êtes ouvert à leurs suggestions même si vous n’êtes pas d’accord avec eux. L’empathie Soyez sensible aux goûts et préférences de votre enfants, à leurs besoins et leurs humeurs. Mettez-vous à leur place. Suivez la Règle d’or. Le sens de l’humour Lorsqu’un échange risque d’être un peu tendu, un simple éclat de rire peut dissiper les tensions. Décompressez ! La clarté et la précision Il y aurait bien moins de malentendus si on ne tournait pas autour du pot en se contentant de faire des allusions. Arrêtez de jouer aux devinettes : dites ce que vous voulez dire. Si vous n’êtes pas sûr d’avoir été compris, posez des questions. L’effort Communiquer demande parfois un gros effort. La constance Les parents et enfants qui communiquent régulièrement se comprennent mieux et sont mieux à même de résoudre les problèmes lorsqu’ils se posent. ― Par Chalsey Dooley
Ce n’était qu’un sourire, mais ce beau sourire sur le visage de mon bébé transforma complètement ma façon de voir le monde. Lorsqu’il me regarda en se réveillant ce jour-là, il voyait ce qui, pour lui, était le plus important au monde : moi, sa maman ! Sa couche avait besoin d’être changée, mais c’était le moindre de ses soucis. Mon pyjama était dépareillé et mes cheveux en bataille, mais cela n’était pour lui d’aucune importance. Tout ce qui comptait, c’est qu’il m’aimait et qu’il aimait être avec moi. Il ne recherchait pas la perfection. L’amour faisait que tout était parfait. Ces quelques instants de bonheur où je le tenais dans mes bras, où j’absorbais ces bouffées d’amour, clarifièrent bien des choses dans ma tête. J’ai toujours été frustrée par le fait que la perfection n’est pas de ce monde. Souvent j’étais agacée par ce que faisaient ou disaient les gens, et quelque chose en moi se révoltait : « Pourquoi les conflits de personnalités, les injustices, les manques d’égards, le pessimisme, les humiliations, le laisser-aller ? Pourquoi tous ces problèmes ? Si seulement tout ça n’existait pas ! Si seulement les gens, y compris moi-même, pouvaient faire un effort et se prendre en main, enfin mon bonheur serait parfait ! » Je me disais que seule la perfection pourrait dissiper mon irritation. Mais je savais bien que ce n’était pas possible. La perfection n’est pas de ce monde. Il fallait que je trouve une autre issue. À bien y réfléchir, je me rendis compte qu’en fait, tout ce que je voulais c’est que le monde tourne autour de moi, qu’il se plie à mes désirs, à mes préférences, à mes priorités. Mais ça ne pouvait pas marcher comme ça : il fallait que quelqu’un change et ce quelqu’un, c’était moi. Même si les autres étaient loin d’être parfaits. Mais comment faire ? Ce n’était pas la première fois que j’essayais. Ce matin-là, alors que je tenais mon bébé dans les bras, cette petite pensée m’effleura : « Aimerais-tu que ton bébé soit parfait dès la naissance ? » Pour rien au monde je ne voudrais une chose pareille. S’il était capable de marcher et de courir dès sa naissance, je ne pourrais jamais voir l’expression de plaisir et de satisfaction sur son visage lorsqu’il ferait ses premiers pas ; et je ne connaîtrais jamais le bonheur de le tenir dans mes bras et de savoir qu’il dépend entièrement de moi. S’il savait parler à la naissance, je n’aurais jamais la joie de l’entendre prononcer ses premiers mots. S’il savait autant de choses qu’un adulte, je n’aurais jamais l’occasion de le voir s’émerveiller en découvrant le monde, et je n’aurais jamais la satisfaction de lui apprendre quelque chose de nouveau. Je passerais à côté de tant de plaisirs ! À tout bien considérer, c’est parfait que mon bébé soit imparfait ! Je ne voudrais pas qu’il en soit autrement ! Mais alors, me demandai-je, qu’est-ce qui fait que son imperfection est différente des autres imperfections auxquelles je me butte tous les jours ? Et, tout à coup, la réponse me sauta aux yeux : « C’est l’amour ! » L’amour fait toute la différence. C’est ça qui me manquait ! C’est ce qu’il me fallait pour pouvoir affronter bravement les problèmes qui, à mon sens, ne devraient pas exister. Regarde un peu tout ce que tu perdrais si toi-même, et tous les gens qui t’entourent, étiez parfaits dès le départ. La vie perdrait son caractère imprévisible et son élément de surprise ; tu perdrais la joie de pardonner et d’être pardonnée, les solides liens de l’amitié et la force de caractère qui se forgent dans l’adversité. Maintenant tout était plus clair. Ce n’est certainement pas en réagissant négativement à une situation négative qu’on peut arriver à un résultat positif. Alors, je résolus de rechercher activement les occasions et les expériences enrichissantes qui se cachent sous le masque de l’imperfection. Ce jour-là, comme mon bébé n’arrivait pas à s’endormir, je décidai de mettre en pratique cette leçon toute fraîche et de tirer le meilleur parti de la difficulté. Je changeai mes plans : mon mari et moi prîmes le temps de chanter et de jouer avec notre bébé. Ce fut un moment merveilleux, que nous aurions manqué si tout avait été « parfait ». © Activé, avec permission. ― Par D.B. Berg • Les petits ne comprennent pas tout ce qui se passe, mais ils sont sûrs que vous, vous comprenez. Donc, pour eux, ce que vous dites est parole d’évangile : ils croient en vous. D’où l’importance de respecter leur sensibilité et de les traiter avec délicatesse. • Quand les petits sont d’humeur contrariante, ce n’est pas le moment de leur demander quoi que ce soit. Ils diront non à tout ! • Les règles sont nécessaires, mais n’en ayez pas plus qu’il n’en faut. Moins il y a de règles, le mieux c’est pour tout le monde. • Chaque enfant est unique et a sa propre personnalité. Chacun doit être traité selon ses caractéristiques individuelles, et selon son niveau de maturité. • Mettez-vous à la place de votre enfant, et vous comprendrez mieux ses problèmes. • Vous devez faire une distinction entre les règles qui ne sont pas négociables et celles qui peuvent faire l’objet d’une exception. • Parfois, avec les adolescents, votre expérience vous dit qu’ils devraient faire les choses d’une certaine manière. Mais est-il préférable d’essayer de les persuader, ou vaut-il mieux les laisser faire à leur idée ? C’est là qu’il vous faudra user de sagesse. Parfois, le fait de sentir que vous leur faites confiance et que vous êtes prêt à prendre en considération leurs désirs et leurs opinions, les encouragera énormément ; et, au bout du compte, pour eux, cela aura beaucoup plus de valeur que ce qu’ils auraient gagné à suivre vos suggestions. Sans compter, bien sûr, que l’expérience est souvent le meilleur maître. • Dieu nous donne un exemple, et nous devrions nous comporter avec nos enfants comme Il le fait avec nous. Il essaye de nous persuader de faire le bien, mais Il nous laisse le choix, Il nous laisse libres de nos décisions. Chaque fois que les circonstances le permettent, faites de même avec vos enfants, et cela dès leur plus jeune âge. Ils seront plus aptes à faire les bons choix lorsqu’ils seront grands et que les enjeux seront devenus plus importants. © Activé. Avec permission. |
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