Le célèbre explorateur de l’Antarctique, Ernest Shackleton, a décrit comment, une nuit, dans un refuge de sauvetage, ses hommes et lui essayaient de dormir, après avoir partagé entre eux leurs derniers biscuits. La situation était critique, et personne n’était sûr de pouvoir regagner la civilisation.
Shackleton sentit quelqu’un bouger et vit l’un des hommes se retourner pour voir comment allaient les autres. Il pensait évidemment que tout le monde dormait, alors il étendit la main au-dessus de son voisin et prit son sac de biscuits. Shackleton était stupéfait. Il pensait qu’il aurait pu confier sa propre vie à cet homme. Et voilà qu’il volait le dernier biscuit d’un de ses compagnons. La pression l’avait-elle transformé en voleur ? Puis il le vit bouger à nouveau. Il le vit prendre le biscuit de son propre sac, remettre les deux biscuits dans celui de l’autre homme, et reposer tranquillement le sac au côté de son ami endormi. Shackleton dit : « Je ne vous dirai pas le nom de cet homme. J’ai eu l’impression que cet acte était un secret entre lui et Dieu. » Que seriez-vous prêt à faire pour montrer de l’amour à ceux qui vous entourent ? Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. – Jésus (Jean 15:13)
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Il y avait un homme riche, toujours vêtu d’habits coûteux et raffinés. Sa vie n’était chaque jour que festins et plaisirs. Un pauvre, nommé Lazare, se tenait couché devant le portail de sa villa, le corps couvert de plaies purulentes. Il aurait bien voulu calmer sa faim avec les miettes qui tombaient de la table du riche. Les chiens mêmes venaient lécher ses plaies.
Le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut à son tour, et on l’enterra. Du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui. Alors il s’écria : « Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes. » Mais Abraham lui répondit : « Mon fils, souviens-toi de combien de bonnes choses tu as joui pendant ta vie, tandis que Lazare n’a connu que des malheurs. A présent, ici, c’est lui qui est consolé, tandis que toi, tu es dans les tourments. De plus, il y a maintenant un immense abîme entre nous et vous et, même si on le voulait, on ne pourrait ni le franchir pour aller d’ici vers vous, ni le traverser pour venir de chez vous ici. – Dans ce cas, dit alors le riche, je t’en conjure, père, envoie au moins Lazare dans la maison de mon père, car j’ai cinq frères ; qu’il les avertisse pour qu’ils n’aboutissent pas, eux aussi, dans ce lieu de tourments. – Tes frères ont les écrits de Moïse et des prophètes, lui répondit Abraham ; qu’ils les écoutent ! – Non, père Abraham, reprit l’autre. Mais si quelqu’un revient du séjour des morts et va les trouver, ils changeront. Mais Abraham répliqua : « S’ils n’écoutent ni Moïse ni les prophètes, ils ne se laisseront pas davantage convaincre par un mort revenant à la vie ! » (Luc 16:19-31)
Une présentation pour enfants, adaptée de My Wonder Studio.
La série le Grenier Enchanté est conçue pour divertir et éduquer les enfants. Animés par Jérémie et son adorable chien Chiffon et de Jeannot Dico le lapin, les chansons et les activités présentées enseignent aux enfants un tas de choses formidables dans un tourbillon d’émotions qui frappera leur imagination.
![]() Le bon roi Venceslas regardait dehors Le jour de la saint Étienne, Quand la neige était partout, Profonde, craquante et uniforme, La lune brillait fort cette nuit-là Malgré le gel cruel Quand apparut un pauvre homme Ramassant du bois pour l'hiver. ![]() "Ici, page, viens près de moi, Si tu le sais, dis-moi, Ce paysan là-bas, qui est-il ? Comment et où est sa demeure ? - Sire, il vit à une bonne lieue d'ici, Sous la montagne, Contre la clôture de la forêt, À côté de la source de Sainte Agnès. ![]() - Porte-moi de la viande et porte-moi du vin, Porte-moi ici des bûches de pins, Toi et moi le verrons dîner Quand nous les y apporterons." Page et monarque avancèrent, Avancèrent ensemble, Dans la sauvage plainte de l'âpre vent Et le temps glacial. ![]() "Sire, la nuit est plus sombre maintenant Et le vent souffle plus fort, Le cœur me manque, je ne sais comment, Je n'en peux plus. - Suis mes pas, mon bon page, Marche dedans hardiment, Tu trouveras que la rage de l'hiver Gèle ton sang moins froidement." Dans les pas de son maître il marcha où la neige était enfoncée, La chaleur était dans la terre que le saint avait imprimée. Alors, chrétiens, soyez-en sûrs, qui possédez richesse ou rang, Vous qui bénissez le pauvre aujourd'hui serez vous-mêmes bénis. Art courtesy of Lord Cavendish; used under CC license. Lyrics from traditional Christmas carol. |
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