Actualisée 13 décembre 2023
Joyeux Noël ! Dans cette liste, vous trouverez des histoires et activités qui permettront à vos enfants de s’imprégner de l’esprit de Noël. Les histoires s’attacheront à leur faire découvrir le vrai sens de cette fête et les encourageront à faire preuve d’amour et de compassion envers les autres. Elles feront aussi grandir leur foi en Dieu. Histoires et bandes dessinées 1 – 4 ans
5 – 7 ans
8 – 11 ans
Coloriages et Activités
Pour une liste des vidéos de Noël pour les enfants, cliquez ici.
Photo: Wikimedia Commons
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Mis à jour 1 Janvier 2023
L'Épiphanie désigne aujourd'hui une fête chrétienne qui célèbre le Messie venu et incarné dans le monde et recevant la visite et l'hommage des Rois mages. Elle a lieu le 6 janvier. (Wikipedia) Après sont quelques histoires, coloriages et activités pour les enfants pour cette journée spéciale. Histoires
Vidéos
Activités manuelle
Image courtesy of ChristArt.com
Toutes les histoires, flashcards et pages à colorier peuvent être téléchargés au format .pdf. Vous pouvez les utiliser à la maison, à l'église ou dans d'autres contextes. Joyeux Noël!
Contes et livres de Noël
Flashcards de Noël
Videos
Contes et livres de Noël
Mis à jour en novembre 2018!
Cliquez sur l'un des liens ci-dessous pour voir ces films de Noël en ligne. La Nativité (partie 1 et partie 2)- Dans un petit village, une jeune fille vivait les dernières années de son adolescence. Pour qu'elle échappe aux conditions de vie difficiles qu'avait toujours connues sa famille, ses parents espéraient qu'elle pourrait faire un bon mariage. Tout était prévu mais un jour, son destin bascula : Gabriel vint lui annoncer qu'elle aurait un enfant comme aucune autre femme n'en avait porté. Le petit village s'appelait Nazareth, Gabriel était un archange, la jeune fille se prénommait Marie et son enfant allait changer l'histoire de l'humanité... Joyeux Noël - Pendant l'été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d'êtres humains dans son tourbillon. Le temps passant, la neige s'installe. Noël arrive et l’impensable se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d’en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l’école aussi bien qu'à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C’est alors que l’on assiste à une trêve passagère, « au grand dam de leurs états-majors1 », entre les trois camps, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d'attachement, les chefs de ces trois camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. Une histoire réelle oubliée de l'Histoire elle-même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord de la France, près de Lille. Un Noël à la Charlie Brown (partie 1 et partie 2) - Un Noël à la Charlie Brown (A Charlie Brown Christmas) (1965) est le premier dessin animé special prime time basé sur la série Peanuts de Charles M. Schulz. Le Grincheux qui voulais gâcher Noel - Dr Seuss (Dessin anime) – La préparation de Noël bat son plein dans la petite ville de Douxville. Tous les habitants frémissent de bonheur à l'approche de la grande fête, sauf le Grincheux, créature verte et recouverte de poils bien décidée à gâcher les festivités. Un Conte de Noël (1982, dessin anime) - Le vieux Ebenezer Scrooge est un homme cruel pour qui la seule passion dans sa vie est l'argent. Il déteste Noël, même à sa seule mention. Il vit seul et uniquement pour travailler. Il est très strict avec son unique employé sous-payés et surchargés de travail, Bob Cratchit, et ne croit pas en la charité. Au réveillon de Noël, Ebenezer Scrooge reçoit la visite de 3 fantôme, celui des Noël passé, présent et futur. À la fin il se retrouve complètement changé. Il apprend le sort cruel réservé à Tiny Tim, ainsi que le sort encore plus cruel réservé à lui-même. Tiny Tim va mourir et être pleuré par sa famille aimante, tandis que Ebenezer Scrooge va mourir seul sans que personne ne viennent le voir. Partie 1 Partie 2 Partie 3 Partie 4 Partie 5 Jésus est né (La Bible en dessin animé) - Après bien des jours de marche, Joseph et Marie arrivèrent à Bethléem, la ville de David. Il y avait là une foule d'étrangers, venus eux aussi pour le recensement. Joseph chercha une place à l'auberge, mais tout était plein. Comme Marie allait bientôt accoucher, il fallait vite lui trouver un abri. Alors, Joseph installa sa femme dans une grotte que les bergers et les paysans utilisaient comme étable. C'est là que Marie donna naissance au Fils de Dieu. Puis elle l'enveloppa d'un lange et le déposa dans la mangeoire, qu'on appelle aussi crèche. Le Grenier Enchanté: Amis de Noël - Sylvain accompagné de son chien de berger Chiffon et de son ami lapin savant fait découvrir aux enfants les plus beaux cadeaux de noel: ceux qui viennent du coeur. Nouveau! Joie de Noël - vidéo de musique pour les petits enfants
Une version de 1 Corinthiens 13 pour Noël
Si je décore joliment ma maison avec du houx, des belles guirlandes, des jolies lumières de Noël et des boules étincelantes, mais que je ne montre pas d’amour, je ne suis qu’un simple décorateur/une simple décoratrice. Si je passe des heures dans la cuisine pour préparer des douzaines de biscuits de Noël et un repas gastronomique, et si je dresse une table magnifiquement décorée, mais que je ne montre pas d’amour, je ne suis qu’un cuisinier/une cuisinière comme les autres. Si je donne de mon temps bénévolement à une soupe populaire, si je chante des chants de Noël dans une maison de retraite, et que je donne tout ce que je possède à des œuvres caritatives, mais que je ne montre pas d’amour, cela ne me sert à rien. Si je décore le sapin avec des anges étincelants et des flocons de Noël en dentelle, si j’assiste à une multitude de fêtes et que je chante dans une chorale de Noël, mais que je n’accorde qu’une vague pensée au Christ, je n’ai rien compris à ce qui est vraiment important. L’amour s’arrête un instant de faire la cuisine pour prendre un enfant dans ses bras. L’amour laisse les décorations de côtés pour donner un baiser à son mari. L’amour est plein de gentillesse même quand on est très occupé et fatigué. L’amour n’envie pas une autre famille qui a un beau service de Noël en porcelaine et du linge de maison magnifique. L’amour ne crie pas après les enfants pour leur dire de ne pas se mettre en travers de votre chemin, mais il est reconnaissant qu’ils soient là avec vous. L’amour ne fait pas de cadeaux seulement à ceux qui vous en feront en retour, mais il se réjouit de pouvoir donner à ceux qui ne peuvent pas vous rendre la pareille. L’amour supporte tout, croit tout, espère tout et endure tout. L’amour ne meurt jamais. Tôt ou tard, les DVDs seront rayés, les jouets oubliés, les écharpes et les bonnets perdus, le nouvel ordinateur deviendra obsolète, mais le don de l’amour durera toujours. Avec la permission de la magasin Activé. Photo: Krystine Lovett / Flickr ― Par John London Je me précipitai au supermarché pour acheter quelques cadeaux de dernière minute. En voyant la cohue, je me mis à ronchonner. Cette petite course allait me prendre une éternité, alors que j’avais une myriade de choses à faire. Décidemment, Noël commençait à me peser. Si seulement je pouvais m’endormir pour ne me réveiller qu’après les fêtes ! Décidant de me dépêcher, je me frayai un chemin jusqu’au rayon des jouets. À nouveau, je grognai à la vue des prix, qui étaient exorbitants. Mes petits enfants seraient-ils même intéressés à ce que j’allais leur acheter ? Je me retrouvai dans l’allée des poupées. Du coin de l’œil, j’aperçus un gamin d’environ cinq ans qui tenait dans ses bras une adorable poupée. Il lui caressait les cheveux et la serrait doucement contre lui. Je ne pouvais détacher mon regard de ce petit bonhomme, me demandant à qui la poupée était destinée. Je le vis se tourner vers une dame : ― Ma tante, es-tu sûre que je n’ai pas assez de sous ? ― Tu sais bien que tu n’as pas assez d’argent pour acheter ça, lui répondit-elle avec une pointe d’impatience. La tante lui ordonna de rester sur place pendant qu’elle finirait ses emplettes, l’affaire de quelques minutes. Elle quitta le rayon. Le petit garçon continuait de tenir la poupée. Après quelques secondes d’hésitation, je lui demandai pour qui elle était. ― C’est la poupée que ma sœur voulait absolument pour Noël. Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait. ― Et je suis certain qu’il va le faire, ajoutai-je. ― Non, répondit-il. Le Père Noël ne peut pas aller là où elle se trouve maintenant… Il faut que je la donne à ma maman pour qu’elle lui amène. ― Où donc est ta sœur ? lui demandai-je. Me regardant de ses yeux les plus tristes, il me confia : ― Elle est allée avec Jésus. Mon papa dit que Maman va devoir la rejoindre. Mon cœur faillit s’arrêter de battre. Alors le gamin, relevant les yeux, ajouta : ― J’ai demandé à Papa que Maman ne parte pas tout de suite, mais qu’elle attende que je revienne du magasin. Puis il me montra une photo de lui qui avait été prise à l’entrée de la galerie marchande. ― Je veux que Maman l’emmène avec elle pour qu’elle ne m’oublie jamais. J’aime beaucoup ma maman et j’aimerais tant qu’elle puisse rester, mais Papa dit qu’elle doit aller retrouver ma petite sœur. Je constatai que l’enfant baissait la tête et que, tout d’un coup, il était devenu silencieux. Profitant de ses quelques instants d’inattention, je tirai une liasse de billets de mon portefeuille, puis lui proposai : ― Et si nous recomptions ton argent encore une fois, pour être sûrs ? ― Oh oui ! fit-il, en reprenant espoir. Je pris son argent dans ma main ; discrètement, j’y ajoutai le mien, et nous nous mîmes à recompter. Bien entendu, il y avait plus qu’assez pour la poupée. ― Merci Jésus de m’avoir donné assez de sous, fit l’enfant. Je Lui ai demandé de me donner ce qu’il fallait pour acheter cette poupée, pour que Maman puisse l’amener à ma petite sœur, et Il a entendu ma prière. Je voulais aussi Lui demander assez d’argent pour acheter une rose blanche à Maman, mais j’ai oublié. Mais Il m’a donné assez de sous pour acheter les deux ! Maman adore les roses blanches. Quelques minutes plus tard, la tante revint. Je m’éclipsai avec mon caddie. Pendant tout le reste des courses, je ne pus m’empêcher de penser à ce gamin. Lorsque je quittai le magasin, je n’étais plus le même. Cela me rappelait étrangement un fait divers que j’avais lu dans le journal quelques jours plus tôt, et l’article me revenait sans cesse à l’esprit : un conducteur en état d’ivresse était entré en collision avec une autre voiture et avait tué une petite fille ; quant à la maman, elle était dans un état critique. La famille devait décider s’il fallait ou non la maintenir en vie artificiellement. Mais ce petit garçon n’avait probablement rien à voir avec cette histoire… Deux jours plus tard, je lisais dans le journal que la famille avait décidé de mettre un terme aux efforts de réanimation, et que la jeune femme était décédée. Je ne pouvais oublier le gamin et je n’arrêtais pas de me demander s’il y avait un rapport entre les deux histoires. Un peu plus tard, ce même jour, n’y tenant plus, je sortis acheter un bouquet de roses blanches et me rendis à la chapelle ardente où reposait la dépouille de la jeune femme. Elle était allongée là, tenant en effet dans ses mains une jolie rose blanche, l’adorable poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. Après avoir déposé les roses, je sortis en pleurs, bouleversé par l’amour d’un enfant pour sa maman et sa petite sœur. « On gagne sa vie grâce aux choses que l’on reçoit, mais c’est en donnant qu’on la réussit. » Article courtesy of www.lebongrain.com
Il se faisait tard en cette veille de Noël et je m’enfonçai dans mon fauteuil, fatigué mais content. Les enfants étaient couchés, les cadeaux empaquetés, le lait et les biscuits disposés devant la cheminée pour le Père Noël. Alors que j’admirais l’arbre décoré, je ne pouvais m’empêcher de ressentir que quelque chose manquait. Bercé par le scintillement des lumières, je ne tardais pas à m’endormir.
Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais soudain je sentis une présence. Vous pouvez imaginer ma surprise lorsqu’en ouvrant les yeux, je vis le Père Noël, debout devant mon sapin. Il était revêtu de fourrure de la tête aux pieds. Mais il ne correspondait pas à l’image du joyeux luron que nous décrit la légende. L’homme qui se tenait devant moi semblait triste et désenchanté. Des larmes même lui mouillaient les yeux. ─ Père Noël, qu’est-ce qui ne va pas ? lui demandai-je. Pourquoi pleurez-vous ? ─ C’est à cause des enfants, fit-il tristement. ─ Mais ils vous aiment, lui répondis-je. ─ Oh ! Je sais bien qu’ils m’aiment, ainsi que les cadeaux que je leur apporte, répliqua-t-il. Mais, de nos jours, les enfants semblent avoir oublié le véritable esprit de Noël. Ce n’est pas de leur faute. C’est que les adultes ont oublié de les instruire. D’ailleurs beaucoup d’entre eux ignorent ces choses. ─ Et que faut-il apprendre aux enfants ? demandai-je. Le visage du vieil homme, emprunt de bonhomie, se radoucit encore. Ses yeux se mirent à briller au milieu de ses larmes. Il parlait avec tendresse. ─ Il faut leur apprendre le vrai sens de Noël. Leur apprendre que Noël, c’est bien plus que les choses que l’on voit, que l’on entend ou que l’on touche. Leur apprendre le symbolisme qui se cache derrière les coutumes et les traditions de Noël. Leur montrer ce qu’elles représentent réellement. Le Père Noël mit la main dans son sac pour en retirer un tout petit sapin, qu’il posa sur le manteau de ma cheminée : ─ Apprends-leur le sens de l’arbre de Noël. Le vert est la deuxième couleur de Noël. Le sapin majestueux, dont la couleur ne change pas, représente l’espérance de la vie éternelle en Jésus. Sa cime, qui pointe vers le ciel, nous rappelle que les pensées de l’homme devraient, elles aussi, se tourner vers en-haut. Le Père Noël replongea sa main dans le sac et en sortit une étoile brillante qu’il installa au sommet du petit arbre : ─ L’étoile était le signe céleste de la promesse. Dieu promit un sauveur au monde et, à la naissance de Jésus, l’étoile fut le signe de l’accomplissement de cette promesse. Apprends aux enfants que Dieu tient toujours Ses promesses et que les hommes sages, à l’instar des mages, continuent de Le chercher. Le rouge est la première couleur de Noël, poursuivit le Père Noël, tout en sortant un ornement rouge dont il habilla le petit sapin. Le rouge est une couleur vive, intense, profonde, la couleur du sang qui coule dans nos veines. C’est le symbole du plus grand don de Dieu. Apprends aux enfants que le Christ a donné Sa vie et a versé Son sang pour qu’ils aient la vie éternelle. Quand ils voient la couleur rouge, cela devrait leur rappeler ce don merveilleux de la vie. Le Père Noël trouva une clochette dans son sac, qu’il accrocha à l’arbre : ─ Les brebis égarées retrouvaient leur chemin grâce au son de la clochette. Il en est de même aujourd’hui : elle continue de tinter pour que tous puissent retrouver le troupeau. Apprends aux enfants à suivre le vrai Berger qui a donné Sa vie pour les brebis. Le Père Noël posa une bougie sur la cheminée et l’alluma. La douce lueur de sa petite flamme illumina la pièce : ─ La lumière de la bougie exprime la reconnaissance des hommes envers Dieu parce qu’Il leur a donné Son Fils en cette veille de Noël, il y a de cela bien longtemps. Enseigne aux enfants à suivre les pas du Christ, à faire le bien tout autour d’eux. Apprends-leur à faire briller leur lumière devant les hommes, afin qu’en la voyant, ils glorifient Dieu. Tel est le sens des lumières qui scintillent dans l’arbre, on dirait qu’il y a des centaines de bougies qui brillent. Chacune d’elles représente l’un des précieux enfants de Dieu. À nouveau, le Père Noël plongea la main dans son sac et, cette fois, en sortit un petit sucre d’orge rayé de rouge et de blanc. Il le suspendit à l’arbre en disant doucement : ─ Le sucre d’orge est une canne de bonbon dur. De couleur blanche, il symbolise la naissance virginale et la pureté de Jésus. Il est en forme de « J » en souvenir du nom de Jésus, qui vint sur terre pour nous sauver. Sa forme rappelle aussi la houlette du Bon Berger, utilisée pour secourir tous ceux qui, comme des brebis, se sont égarés ou sont tombés dans les précipices du monde. Le Père Noël sortit une magnifique couronne de verdure fraîche et odorante, liée par un joli nœud rouge. ─ Le ruban nous rappelle le lien parfait, qui est l’amour. La couronne représente toutes les bonnes choses que nous apporte Noël, pour ceux qui ont des yeux pour voir et des cœurs pour comprendre. Elle est faite d’aiguilles de conifères qui se tournent vers le ciel, elle est rouge et verte. Le nœud nous raconte l’histoire de l’amour de Dieu envers tous, et sa couleur nous remémore encore une fois le sacrifice du Christ. Sa forme même est symbolique, représentant l’éternité et le caractère éternel de l’amour du Christ. C’est un cercle sans commencement ni fin. Voilà ce qu’il faut enseigner aux enfants. ─ Mais alors, Père Noël, quelle est votre place dans tout ça ? m’enquerrai-je. Maintenant qu’il avait séché ses larmes, son visage vint s’illuminer d’un grand sourire. Il éclata de rire : ─ Ah, mon cher ami ! Dieu te bénisse ! Je ne suis moi-même qu’un symbole. Je représente la gaieté familiale et la joie de donner et de recevoir. Si on enseigne tout le reste aux enfants, je ne risque pas de devenir trop important. J’ai dû me rendormir. À mon réveil, je me suis dit : Je commence enfin à comprendre. Était-ce un rêve ? Je ne sais pas trop. Mais je me souviens des derniers mots du Père Noël : ─ Si tu n’enseignes pas tout cela aux enfants, qui le fera ? ─ Auteur anonyme Adaptation d’un texte de D.J. Adams
L’époque de Noël est un moment privilégié de partage. C’est l’occasion de se retrouver entre amis, de redécouvrir l’importance de la famille et des valeurs spirituelles. Mais Noël peut aussi être synonyme de fièvre et de frustration si l’on ne sait pas bien gérer son temps et ses humeurs. Je suis bien placé pour le savoir. Je tiens une librairie et un magasin de jouets où la clientèle afflue dès le mois de novembre ; et moi, comme bien d’autres, j’ai une famille, des enfants qui s’attendent à ce que je passe plus de temps que d’habitude avec eux, j’ai aussi des courses à faire, et je dois répondre à des invitations, etc. Étant donné qu’à cette période de l’année je côtoie énormément de gens stressés, j’ose vous proposer ici quelques conseils qui, je l’espère, vous aideront à mieux profiter de ces beaux jours de fêtes, au lieu de vous laisser piéger par le stress. Ramenez les choses à leur véritable dimension. Rappelez-vous qu’à Noël, on célèbre la naissance de Jésus-Christ. « Paix sur terre » et « les hommes (et femmes) de bonne volonté » sont deux concepts universels qui valent la peine d’être partagés. Il est parfois difficile de garder cela à l’esprit quand on se démène pour trouver une place de parking dans la cohue des grandes surfaces, mais ça en vaut bien la peine. Soyez prévoyant. Pourquoi Noël nous prend-il si souvent par surprise, sans que nous ayons le temps de nous y préparer ? On peut très bien attendre la dernière minute, mais il est, ô combien, préférable de choisir ses cadeaux à l’avance et, pendant qu’on y est, de les empaqueter et de les ranger dans l’armoire ! Rien ne vous empêche de commencer en juillet si vous voulez. Quand arrivera décembre, les petites choses qu’il vous restera à faire seront un plaisir, et vous provoquerez la jalousie de tous ceux qui n’auront pas su s’organiser aussi bien que vous ! Simplifiez-vous la vie. La simplicité est une vertu. Pourquoi les fêtes de Noël seraient-elles compliquées ? Si nous offrons un cadeau à quelqu’un, c’est pour lui témoigner de l’amour, pas pour faire étalage de notre richesse. Ne prenez pas sur vous-même de préparer deux millions de biscuits pour l’arbre de Noël de l’école. Donnez de vous-même, d’accord, mais ne vous engagez pas à donner plus que vous ne pouvez. Votre famille, vos amis, vos collègues de travail, votre communauté, et bien d’autres requièrent votre temps, alors, à vous de le partager équitablement. Soyez charitable. Certes, « charité bien ordonnée commence par soi-même », ou sa famille... Mais elle n’est pas faite pour en rester là. Les cadeaux qu’on a le plus grand plaisir à offrir sont souvent ceux que l’on fait à de parfaits étrangers, ou presque. Y a-t-il des familles près de chez vous dont les enfants ne recevront pas grand-chose cette année ? Pourquoi ne pas acheter un jouet en plus, un jeu, un puzzle ou autre chose, chaque fois que vous allez faire vos courses de Noël, afin d’en faire profiter des familles qui n’ont pas autant de moyens que la vôtre ? Votre école ou votre entreprise va peut-être organiser une fête. Alors, n’hésitez pas à vous porter volontaire. Venir en aide aux autres est très gratifiant, et c’est l’une des meilleures façons de surmonter votre stress. Ménagez-vous des moments de repos. Commencez la journée par une réunion de prière, ou arrêtez un moment vos activités pour méditer dans le calme sur la beauté de Noël. D’une manière ou d’une autre, prenez le temps de prier pour exprimer à Dieu votre gratitude et remplir votre cœur de toutes les bonnes choses qu’Il a pour vous. Noël est une merveilleuse époque de l’année. À vous d’en profiter ! Article courtesy of Activated! magainze. Photo courtesy of David Castillo Dominici/freedigitalphotos.net |
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