Montrer à vos enfants qu’ils comptent pour vous ! Voici quelques idées pour vous mettre sur la voie...
1. Dites-le leur avec des mots. « Je t’aime » : rien de tel que ces trois mots pour leur faire savoir que vous les aimez. Alors, dites-les souvent. 2. Dites-leur pourquoi vous les aimez. Pourquoi vos enfants est-elle importante à vos yeux ? N’ayez pas peur de lui dire, et de façon précise. À la moindre occasion, faites-lui savoir que vous l’admirez, ou que vous l’appréciez. 3. Prenez le temps de les aimer. Passer du temps avec vos enfants, c’est comme lui dire : « Tu es plus important pour moi que toutes les autres choses que je pourrais faire en ce moment. » 4. Faites preuve de constance. Lorsque tout va bien, le fait d’exprimer votre amour fera que les choses iront encore mieux. Et si ça va mal, l’amour pourra tout changer. 5. Montrez-leur de l’affection. Serrez-vous dans les bras l’un de l’autre. N’ayez pas peur de vous toucher. La science a prouvé que le toucher est bénéfique, tant sur le plan physique que mental et émotionnel. 6. Écoutez-les avec votre cœur. Faites l’effort de découvrir qui est vraiment vos enfants, pour la comprendre, au lieu de supposer que vous la connaissez déjà. 7. Montrez-leur du respect Les relations saines sont bâties sur l’admiration et le respect mutuels. Recherchez les occasions de montrer à vos enfants que vous croyez en eux. 8. Mettez-les en premier. Le fait de donner la priorité aux besoins et aux désirs de vos proches montre que leur bien-être et leur bonheur sont plus importants pour vous que les vôtres. 9. Baissez votre garde. Il est souvent humiliant de s’ouvrir aux autres et d’accepter d’être vus par eux tels que vous êtes, mais c’est le prix à payer si vous recherchez l’unité de cœur et d’esprit.
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![]() J’ai un caractère épouvantable. Que puis-je y faire ? Comprendre les mécanismes de la colère est important. Une colère refoulée est comparable à une bombe à retardement. Si vous en connaissez le fonctionnement, vous serez capable de la désamorcer avant qu’elle n’explose. Voici quelques conseils : • Il faut admettre que la colère résulte bien souvent de préoccupations égoïstes. Nous n’arrivons pas à nos fins, notre orgueil se trouve blessé, nous sommes vexés ou nous avons l’impression d’avoir été maltraités, d’où notre frustration et notre colère. • Réfléchissez avant d’ouvrir la bouche. Si vous êtes capable de vous retenir assez longtemps pour réfléchir à ce que vous allez dire, vous pourrez, la plupart du temps, exprimer vos sentiments d’une manière plus posée. • Considérez les conséquences. Donner libre cours à ses ressentiments sous forme de paroles ou d’actes incontrôlés ne peut qu’engendrer des erreurs et heurter ceux que l’on aime. • Apprenez à reconnaître les signes avant-coureurs. La colère est synonyme de danger. Les signes avertisseurs varient d’une personne à l’autre, mais c’est quelque chose que l’on ressent, et on se connaît assez bien pour savoir repérer l’amorce d’une colère qui monte. C’est à ce stade-là qu’il faut l’arrêter. • Demandez de l’aide. Avouez à votre enfants que vous avez du mal à contrôler vos émotions. C’est humiliant peut-être, mais pas autant que d’avoir à vous excuser à la suite d’un terrible accès de colère. • Priez Jésus qu’Il vous vienne en aide. • Canalisez votre colère. Réorienter cette énergie refoulée vers une activité constructive, vous permet de distraire votre esprit de l’objet initial de votre colère. Tondez le gazon. Passez la serpillière dans la cuisine. Faites vos exercices quotidiens. Ou mieux encore, faites quelque chose de gentil à l’égard de celui ou celle qui est à l’origine de votre colère. © magazine Active. Utilisé avec permission. ![]() Adaptation d’un article de Virginia Brandt Berg Quelle est, de nos jours, la principale défaillance des parents ? Le Dr. James H. Bossard, ancien professeur de sociologie à l’université de Pennsylvanie, a passé quarante ans à étudier ce qu’il appelle « les domaines négligés de la vie familiale ». D’après lui, la défaillance la plus grave chez les parents, c’est la façon dont ils parlent devant leurs enfants. Après avoir étudié un grand nombre d’enregistrements de conversations autour de la table, il conclut : « Je ne m’attendais pas du tout à découvrir qu’un certain mode de comportement allait clairement se dégager de ces conversations. Je voulais simplement savoir ce dont on parlait en famille durant les repas ; mais, à mon grand étonnement, j’ai découvert que les familles, dans leurs échanges, avaient développé certaines habitudes bien précises qui, de surcroît, étaient solidement ancrées. Dans une famille après l’autre, j’ai constaté que le modèle conversationnel le plus répandu était la critique destructive. » « Il était rare qu’on dise du bien de quelqu’un. On se plaignait sans arrêt des amis, des parents, des voisins, et de pratiquement tous les aspects de la vie quotidienne, depuis les queues à la caisse des supermarchés jusqu’à la bêtise du patron. Or, cette atmosphère familiale constamment négative avait un effet désastreux sur les enfants : bon nombre d’entre eux étaient devenus asociaux et impopulaires. Et bien souvent, ce comportement hostile adopté par la famille tournait à la dispute. Les repas étaient le théâtre de querelles et donnaient lieu à des échanges d’insultes. Les enfants prenaient le même pli, et cela leur causait de sérieux problèmes… Il y a des siècles, poursuit le Dr. Bossard, un grand Maître à penser faisait remarquer que ce qui sort de la bouche est beaucoup plus important que ce qui y entre. » Ce Maître était Jésus, et on trouvera cette parole de sagesse en Matthieu 15:11. En une autre occasion, Jésus disait : « La bouche exprime ce dont le cœur est plein » (Matthieu 12:34). Les paroles qui émanent d’une âme remplie de amour exerceront une sorte de magnétisme sur les autres. Lorsque votre cœur brûle de amour, vous n’avez pas besoin de rajouter du pathos ou de la tendresse à votre conversation. Toutes vos paroles ont une saveur et une puissance qui viennent des profondeurs intérieures. La racine du problème n’est pas tant la bouche que le cœur. Les paroles ne font que véhiculer ce qui se trouve dans le cœur. « L’homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor (son cœur) ; l’homme mauvais tire de mauvaises choses de son mauvais trésor (son cœur) » (Matthieu 12:35). Rien d’autre au monde ne peut améliorer la qualité de nos paroles : il faut changer l’esprit dont elles procèdent. Il faut que s’opère un changement du cœur. © Activé magazine
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March 2025
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