Actualisé 2023!
Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. La fête est aussi associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé. (Adapté de Wikipedia) Histoires Pour les enfants de 1 à 4 ans
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Une version de 1 Corinthiens 13 pour Noël
Si je décore joliment ma maison avec du houx, des belles guirlandes, des jolies lumières de Noël et des boules étincelantes, mais que je ne montre pas d’amour, je ne suis qu’un simple décorateur/une simple décoratrice. Si je passe des heures dans la cuisine pour préparer des douzaines de biscuits de Noël et un repas gastronomique, et si je dresse une table magnifiquement décorée, mais que je ne montre pas d’amour, je ne suis qu’un cuisinier/une cuisinière comme les autres. Si je donne de mon temps bénévolement à une soupe populaire, si je chante des chants de Noël dans une maison de retraite, et que je donne tout ce que je possède à des œuvres caritatives, mais que je ne montre pas d’amour, cela ne me sert à rien. Si je décore le sapin avec des anges étincelants et des flocons de Noël en dentelle, si j’assiste à une multitude de fêtes et que je chante dans une chorale de Noël, mais que je n’accorde qu’une vague pensée au Christ, je n’ai rien compris à ce qui est vraiment important. L’amour s’arrête un instant de faire la cuisine pour prendre un enfant dans ses bras. L’amour laisse les décorations de côtés pour donner un baiser à son mari. L’amour est plein de gentillesse même quand on est très occupé et fatigué. L’amour n’envie pas une autre famille qui a un beau service de Noël en porcelaine et du linge de maison magnifique. L’amour ne crie pas après les enfants pour leur dire de ne pas se mettre en travers de votre chemin, mais il est reconnaissant qu’ils soient là avec vous. L’amour ne fait pas de cadeaux seulement à ceux qui vous en feront en retour, mais il se réjouit de pouvoir donner à ceux qui ne peuvent pas vous rendre la pareille. L’amour supporte tout, croit tout, espère tout et endure tout. L’amour ne meurt jamais. Tôt ou tard, les DVDs seront rayés, les jouets oubliés, les écharpes et les bonnets perdus, le nouvel ordinateur deviendra obsolète, mais le don de l’amour durera toujours. Avec la permission de la magasin Activé. Photo: Krystine Lovett / Flickr ― Par John London Je me précipitai au supermarché pour acheter quelques cadeaux de dernière minute. En voyant la cohue, je me mis à ronchonner. Cette petite course allait me prendre une éternité, alors que j’avais une myriade de choses à faire. Décidemment, Noël commençait à me peser. Si seulement je pouvais m’endormir pour ne me réveiller qu’après les fêtes ! Décidant de me dépêcher, je me frayai un chemin jusqu’au rayon des jouets. À nouveau, je grognai à la vue des prix, qui étaient exorbitants. Mes petits enfants seraient-ils même intéressés à ce que j’allais leur acheter ? Je me retrouvai dans l’allée des poupées. Du coin de l’œil, j’aperçus un gamin d’environ cinq ans qui tenait dans ses bras une adorable poupée. Il lui caressait les cheveux et la serrait doucement contre lui. Je ne pouvais détacher mon regard de ce petit bonhomme, me demandant à qui la poupée était destinée. Je le vis se tourner vers une dame : ― Ma tante, es-tu sûre que je n’ai pas assez de sous ? ― Tu sais bien que tu n’as pas assez d’argent pour acheter ça, lui répondit-elle avec une pointe d’impatience. La tante lui ordonna de rester sur place pendant qu’elle finirait ses emplettes, l’affaire de quelques minutes. Elle quitta le rayon. Le petit garçon continuait de tenir la poupée. Après quelques secondes d’hésitation, je lui demandai pour qui elle était. ― C’est la poupée que ma sœur voulait absolument pour Noël. Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait. ― Et je suis certain qu’il va le faire, ajoutai-je. ― Non, répondit-il. Le Père Noël ne peut pas aller là où elle se trouve maintenant… Il faut que je la donne à ma maman pour qu’elle lui amène. ― Où donc est ta sœur ? lui demandai-je. Me regardant de ses yeux les plus tristes, il me confia : ― Elle est allée avec Jésus. Mon papa dit que Maman va devoir la rejoindre. Mon cœur faillit s’arrêter de battre. Alors le gamin, relevant les yeux, ajouta : ― J’ai demandé à Papa que Maman ne parte pas tout de suite, mais qu’elle attende que je revienne du magasin. Puis il me montra une photo de lui qui avait été prise à l’entrée de la galerie marchande. ― Je veux que Maman l’emmène avec elle pour qu’elle ne m’oublie jamais. J’aime beaucoup ma maman et j’aimerais tant qu’elle puisse rester, mais Papa dit qu’elle doit aller retrouver ma petite sœur. Je constatai que l’enfant baissait la tête et que, tout d’un coup, il était devenu silencieux. Profitant de ses quelques instants d’inattention, je tirai une liasse de billets de mon portefeuille, puis lui proposai : ― Et si nous recomptions ton argent encore une fois, pour être sûrs ? ― Oh oui ! fit-il, en reprenant espoir. Je pris son argent dans ma main ; discrètement, j’y ajoutai le mien, et nous nous mîmes à recompter. Bien entendu, il y avait plus qu’assez pour la poupée. ― Merci Jésus de m’avoir donné assez de sous, fit l’enfant. Je Lui ai demandé de me donner ce qu’il fallait pour acheter cette poupée, pour que Maman puisse l’amener à ma petite sœur, et Il a entendu ma prière. Je voulais aussi Lui demander assez d’argent pour acheter une rose blanche à Maman, mais j’ai oublié. Mais Il m’a donné assez de sous pour acheter les deux ! Maman adore les roses blanches. Quelques minutes plus tard, la tante revint. Je m’éclipsai avec mon caddie. Pendant tout le reste des courses, je ne pus m’empêcher de penser à ce gamin. Lorsque je quittai le magasin, je n’étais plus le même. Cela me rappelait étrangement un fait divers que j’avais lu dans le journal quelques jours plus tôt, et l’article me revenait sans cesse à l’esprit : un conducteur en état d’ivresse était entré en collision avec une autre voiture et avait tué une petite fille ; quant à la maman, elle était dans un état critique. La famille devait décider s’il fallait ou non la maintenir en vie artificiellement. Mais ce petit garçon n’avait probablement rien à voir avec cette histoire… Deux jours plus tard, je lisais dans le journal que la famille avait décidé de mettre un terme aux efforts de réanimation, et que la jeune femme était décédée. Je ne pouvais oublier le gamin et je n’arrêtais pas de me demander s’il y avait un rapport entre les deux histoires. Un peu plus tard, ce même jour, n’y tenant plus, je sortis acheter un bouquet de roses blanches et me rendis à la chapelle ardente où reposait la dépouille de la jeune femme. Elle était allongée là, tenant en effet dans ses mains une jolie rose blanche, l’adorable poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. Après avoir déposé les roses, je sortis en pleurs, bouleversé par l’amour d’un enfant pour sa maman et sa petite sœur. « On gagne sa vie grâce aux choses que l’on reçoit, mais c’est en donnant qu’on la réussit. » Article courtesy of www.lebongrain.com
Récemment, deux de mes enfants sont devenus parents à leur tour, et ce que j’avais appris au fil des années s’est vu confirmé : le fait d’être papa ou maman nous force à donner le meilleur de nous-mêmes. C’est tout de suite un choc pour les nouveaux parents, sur le plan émotionnel comme sur le plan physique : il y a ce lien d’amour qui, dès le premier instant, les unit à ce petit être, et qui grandit jour après jour, les interruptions de sommeil, l’emploi du temps et les priorités qui se trouvent bousculés... Mais il y a aussi les changements moins perceptibles, ceux que les autres sont généralement les premiers à remarquer : comme cette aura que Dieu réserve aux nouveaux parents, et la maturité qui vient du dépassement de soi et des sacrifices qu’il faut consentir pour répondre aux besoins de bébé.
Il fut un temps où j’étais convaincu qu’il n’y avait pas plus grande fierté que de ramener chez soi un nouveau-né, et je l’ai ressentie à chaque nouvelle naissance. Mais à présent, je dirais qu’il y a encore plus de fierté à être grand-parent. Parce que, chaque fois que cela m’arrive (j’ai 11 petits-enfants), je suis doublement fier : fier d’avoir un nouveau petit-fils ou une nouvelle petite-fille et, en même temps, fier de ses parents. Eh bien, maintenant que vous savez que je suis grand-père, vous vous demandez peut-être si j’ai des conseils à donner aux jeunes parents. Pourquoi pas, après tout ? Vous connaissez déjà ces trois grands principes : aimez vos enfants quoi qu’il arrive, dites-leur souvent que vous les aimez, et consacrez-leur des moments de qualité, car rien n’est plus important. J’en ajouterais un autre : je crois qu’une des meilleures choses que les parents puissent faire, c’est de laisser leurs enfants être eux-mêmes. Comme la plupart des parents, vous voulez sans doute que vos enfants excellent. Il est bon de vouloir les aider à réaliser tout leur potentiel, mais de là à vous montrer trop exigeant envers eux ou envers vous-même, il n’y a qu’un pas. Vos enfants ne seront jamais parfaits, pas plus que vous. Alors, apprenez à célébrer les succès sans trop vous inquiéter du reste. Privilégiez l’amour et la confiance plutôt que la perfection, et vous tisserez des liens pour la vie, des liens qui vous garderont unis dans toutes les joies et les peines. Je souhaite donc beaucoup de bonheur aux parents ! Et beaucoup de bonheur aux grands-parents, eux qui ont la chance d’être doublement bénis ! - Keith Phillips Publié originalement dans le magazine Activé. Utilisé avec permission. par Akio Matsuoka « Toute ma vie, j’ai été tellement occupée que je n’ai jamais eu le temps de réfléchir! », m’a confié une femme malade en phase terminale, âgée d’une quarantaine d’années, lorsque je lui ai rendu visite à l’hôpital. « En me retrouvant ici, je me suis rendue compte que je connaissais à peine mon mari, mes enfants ou même ma belle-mère qui vit avec nous. Je passais mes journées à m’occuper d’eux—à faire les courses, préparer leurs repas, faire leur lessive, ranger derrière eux, les aider à faire leurs devoirs—et pourtant, je ne peux pas dire que je sais à quoi ils pensent ou ce qui les préoccupe. Je serais bien incapable de vous dire quand j’ai eu une conversation profonde avec l’un d’eux, pour la dernière fois. » J’ai entendu quelqu’un exprimer des regrets similaires récemment, lors d’un séminaire auquel je participais. L’orateur principal venait de terminer son intervention, puis il a donné la parole à l’auditoire pour une période informelle de questions et réponses. Un homme d’un certain âge, retraité d’une grande société dont il avait été le PDG, prit la parole pour s’adresser à la centaine de personnes présentes : « J’ai 70 ans, je suis en excellente santé, et je touche une pension de retraite plus que confortable. J’attendais depuis longtemps le jour où je pourrais enfin me reposer et me consacrer à ma famille ; mais pas plus tard qu’hier, j’ai appris que ma femme demandait le divorce. Toute ma vie, j’ai travaillé dur pour ma famille, pour ceux que j’aimais. Où est-ce que je me suis trompé ? Comment ai-je pu faire fausse route à ce point? » Les gens me disent souvent que tout ce qu’ils veulent c’est que les personnes qui leur sont chères soient heureuses, et que c’est pour cette raison qu’ils doivent travailler autant. Hélas, plus ils réussissent dans leur profession, plus ils sont occupés et moins ils consacrent de temps à leur famille—et moins ils récoltent les bénéfices qu’ils espéraient gagner de leur investissement. Au départ, les motifs de la femme mourante et du retraité leur paraissaient sans doute nobles, mais leurs priorités les ont empêchés de répondre aux besoins profonds de leurs bien-aimés. La Bible nous dit: « N’oubliez pas de faire le bien et de vous entraider fraternellement, car ce sont de tels sacrifices qui plaisent à Dieu. » Le mot grec traduit par « entraider » est koinónia, qui signifie « participation », « communion » ou encore « solidarité. » Autrement dit, nous devrions sacrifions certaines choses pour consacrer du temps aux autres, pour les aider, pour partager leur vie, s’intéresser à leurs victoires et à leurs difficultés, et communiquer à cœur ouvert avec eux—bref, prenions le temps d’aimer. © 2012 Aurora AG. Traduit de l’original anglais « What Matters Most », in Activated October 2012, par Bruno et Françoise Corticelli Montrer à vos enfants qu’ils comptent pour vous ! Voici quelques idées pour vous mettre sur la voie...
1. Dites-le leur avec des mots. « Je t’aime » : rien de tel que ces trois mots pour leur faire savoir que vous les aimez. Alors, dites-les souvent. 2. Dites-leur pourquoi vous les aimez. Pourquoi vos enfants est-elle importante à vos yeux ? N’ayez pas peur de lui dire, et de façon précise. À la moindre occasion, faites-lui savoir que vous l’admirez, ou que vous l’appréciez. 3. Prenez le temps de les aimer. Passer du temps avec vos enfants, c’est comme lui dire : « Tu es plus important pour moi que toutes les autres choses que je pourrais faire en ce moment. » 4. Faites preuve de constance. Lorsque tout va bien, le fait d’exprimer votre amour fera que les choses iront encore mieux. Et si ça va mal, l’amour pourra tout changer. 5. Montrez-leur de l’affection. Serrez-vous dans les bras l’un de l’autre. N’ayez pas peur de vous toucher. La science a prouvé que le toucher est bénéfique, tant sur le plan physique que mental et émotionnel. 6. Écoutez-les avec votre cœur. Faites l’effort de découvrir qui est vraiment vos enfants, pour la comprendre, au lieu de supposer que vous la connaissez déjà. 7. Montrez-leur du respect Les relations saines sont bâties sur l’admiration et le respect mutuels. Recherchez les occasions de montrer à vos enfants que vous croyez en eux. 8. Mettez-les en premier. Le fait de donner la priorité aux besoins et aux désirs de vos proches montre que leur bien-être et leur bonheur sont plus importants pour vous que les vôtres. 9. Baissez votre garde. Il est souvent humiliant de s’ouvrir aux autres et d’accepter d’être vus par eux tels que vous êtes, mais c’est le prix à payer si vous recherchez l’unité de cœur et d’esprit. ― Par Chalsey Dooley Ce n’était qu’un sourire, mais ce beau sourire sur le visage de mon bébé transforma complètement ma façon de voir le monde. Lorsqu’il me regarda en se réveillant ce jour-là, il voyait ce qui, pour lui, était le plus important au monde : moi, sa maman ! Sa couche avait besoin d’être changée, mais c’était le moindre de ses soucis. Mon pyjama était dépareillé et mes cheveux en bataille, mais cela n’était pour lui d’aucune importance. Tout ce qui comptait, c’est qu’il m’aimait et qu’il aimait être avec moi. Il ne recherchait pas la perfection. L’amour faisait que tout était parfait. Ces quelques instants de bonheur où je le tenais dans mes bras, où j’absorbais ces bouffées d’amour, clarifièrent bien des choses dans ma tête. J’ai toujours été frustrée par le fait que la perfection n’est pas de ce monde. Souvent j’étais agacée par ce que faisaient ou disaient les gens, et quelque chose en moi se révoltait : « Pourquoi les conflits de personnalités, les injustices, les manques d’égards, le pessimisme, les humiliations, le laisser-aller ? Pourquoi tous ces problèmes ? Si seulement tout ça n’existait pas ! Si seulement les gens, y compris moi-même, pouvaient faire un effort et se prendre en main, enfin mon bonheur serait parfait ! » Je me disais que seule la perfection pourrait dissiper mon irritation. Mais je savais bien que ce n’était pas possible. La perfection n’est pas de ce monde. Il fallait que je trouve une autre issue. À bien y réfléchir, je me rendis compte qu’en fait, tout ce que je voulais c’est que le monde tourne autour de moi, qu’il se plie à mes désirs, à mes préférences, à mes priorités. Mais ça ne pouvait pas marcher comme ça : il fallait que quelqu’un change et ce quelqu’un, c’était moi. Même si les autres étaient loin d’être parfaits. Mais comment faire ? Ce n’était pas la première fois que j’essayais. Ce matin-là, alors que je tenais mon bébé dans les bras, cette petite pensée m’effleura : « Aimerais-tu que ton bébé soit parfait dès la naissance ? » Pour rien au monde je ne voudrais une chose pareille. S’il était capable de marcher et de courir dès sa naissance, je ne pourrais jamais voir l’expression de plaisir et de satisfaction sur son visage lorsqu’il ferait ses premiers pas ; et je ne connaîtrais jamais le bonheur de le tenir dans mes bras et de savoir qu’il dépend entièrement de moi. S’il savait parler à la naissance, je n’aurais jamais la joie de l’entendre prononcer ses premiers mots. S’il savait autant de choses qu’un adulte, je n’aurais jamais l’occasion de le voir s’émerveiller en découvrant le monde, et je n’aurais jamais la satisfaction de lui apprendre quelque chose de nouveau. Je passerais à côté de tant de plaisirs ! À tout bien considérer, c’est parfait que mon bébé soit imparfait ! Je ne voudrais pas qu’il en soit autrement ! Mais alors, me demandai-je, qu’est-ce qui fait que son imperfection est différente des autres imperfections auxquelles je me butte tous les jours ? Et, tout à coup, la réponse me sauta aux yeux : « C’est l’amour ! » L’amour fait toute la différence. C’est ça qui me manquait ! C’est ce qu’il me fallait pour pouvoir affronter bravement les problèmes qui, à mon sens, ne devraient pas exister. Regarde un peu tout ce que tu perdrais si toi-même, et tous les gens qui t’entourent, étiez parfaits dès le départ. La vie perdrait son caractère imprévisible et son élément de surprise ; tu perdrais la joie de pardonner et d’être pardonnée, les solides liens de l’amitié et la force de caractère qui se forgent dans l’adversité. Maintenant tout était plus clair. Ce n’est certainement pas en réagissant négativement à une situation négative qu’on peut arriver à un résultat positif. Alors, je résolus de rechercher activement les occasions et les expériences enrichissantes qui se cachent sous le masque de l’imperfection. Ce jour-là, comme mon bébé n’arrivait pas à s’endormir, je décidai de mettre en pratique cette leçon toute fraîche et de tirer le meilleur parti de la difficulté. Je changeai mes plans : mon mari et moi prîmes le temps de chanter et de jouer avec notre bébé. Ce fut un moment merveilleux, que nous aurions manqué si tout avait été « parfait ». Article tiré du magazine Activé. Qu’est-ce qu’une mère ? Lorsqu’on est cinq et qu’il ne reste plus que quatre parts de gâteau, c’est la personne qui s’empressera d’annoncer à tout le monde qu’elle n’a jamais raffolé des gâteaux. — Teneva Jordan
« Maman », pour tous les enfants du monde et dans toutes les langues, est un mot magique. —Arlene Benedict Maman a été mon plus grand professeur. C’est elle qui m’a appris à aimer, à avoir de la compassion pour les autres et à vaincre mes peurs. Si l’amour a la douceur d’une fleur, je dirais que ma mère est une douce fleur d’amour. — Steve Wonder Le meilleur remède au monde, c’est un baiser de maman. — Anonyme La jeunesse se fane, l’amour parfois se flétrit et les feuilles de l’amitié finissent souvent par tomber ; mais l’espoir secret d’une mère ne s’éteint jamais. — Olivier Wendell Holmes L’amitié d’une mère, il n’en est pas de plus fidèle quand les épreuves s’abattent sur nous et que, d’un seul coup, la prospérité fait place à l’adversité. Nombre de nos amis sont nos compagnons de fête quand le soleil brille, mais ils nous abandonnent quand le ciel s’assombrit et que les problèmes surgissent. Jamais notre mère ne nous laissera tomber. Par ses mots gentils et ses conseils, elle s’efforcera de dissiper l’obscurité des nuages et de ramener la paix dans notre cœur. — Washington Irving Dieu nous voit à travers les yeux de notre mère, et nous récompense pour ce que nous faisons de bien. — Ganeshan Wenkatarman Maman, c’est la banque où nous déposons tous soucis, tous nos bobos. — Anonyme L’amour de ma mère était si grand que j’ai passé toute ma vie à m’en montrer digne. — Marc Chagall Nul n’a autant d’influence qu’une mère. — Sarah Josepha Hale L’amour d’une mère dépasse en force les lois de la nature. — Barbara Kingsolver Les mamans sont des philosophes sans le savoir. — Harriet Beecher Stowe Une bonne mère vaut des centaines de maîtres d’école. — George Herbert C’est dans le cœur d’une mère que l’enfant fait son apprentissage de la vie. — Henri Ward Beecher L’amour d’une mère Donne à l’homme ordinaire L’énergie nécessaire D’accomplir et de faire L’extraordinaire. — Anonyme Une mère aime ses enfants, même s’ils ne le méritent pas. — Kate Semperi Maman : c’est sur elle que l’on compte pour les choses qui comptent. — Katherine Buttler Hathaway Une mère comprend ce qu’un enfant garde sous silence. — Proverbe juif Tout ce que je suis, c’est à ma mère que je le dois. J’attribue ma réussite à l’éducation morale, intellectuelle et physique qu’elle m’a donnée. — George Washington Il n’y a pas de vocation plus noble que celle d’une mère. C’est le plus beau des arts, la plus admirable des professions. Assurément, celle qui peint un chef d’œuvre ou écrit un livre influencera peut-être des millions d’hommes et de femmes et mérite les applaudissements et l’admiration. Mais celle qui élève une famille de garçons et de filles sains de corps et d’esprit, qui n’auront jamais fini d’exercer une influence à travers les âges bien après que les peintures se seront ternies et que les statues et les livres auront été détruits, celle-ci, dis-je, a droit à nos plus grands honneurs. — David O. McKay Un jour, j’observais des petits enfants jouer au football. Ils n'avaient que cinq ou six ans. Pourtant, ils jouaient un vrai jeu, tout à fait sérieux : avec deux équipes, entraîneurs, maillots et tout le reste. Les parents même étaient au rendez-vous. Ne connaissant personne, je pouvais prendre plaisir à observer le jeu sans m'inquiéter des résultats. J’aurais souhaité que les parents et les entraîneurs puissent en faire autant. Les équipes étaient assez bien équilibrées. Je les appellerai équipes A et B. Durant la première mi-temps, aucun but ne fut marqué. Les enfants s'amusaient comme des fous. Ils étaient maladroits mais, comme c’est le propre des enfants, avec tant de naturel et de ferveur ! Ils s'emmêlaient les jambes, trébuchaient, rataient le ballon, mais tout cela n'avait aucune importance : ils s'amusaient ! À la deuxième mi-temps, l'entraîneur de l'équipe A retira du jeu ses meilleurs éléments afin de donner une chance aux débutants, à l'exception de son joueur numéro un qu'il plaça comme gardien de but. Le jeu prit alors une tournure dramatique. J'imagine que gagner est important même quand on a cinq ans, car l'entraîneur de l'équipe B laissa en place ses meilleurs joueurs, face auxquels les débutants de l’équipe A n’étaient pas de taille. L'équipe B se pressait autour du gardien de but. Pour un petit gars de cinq ans, il se défendait très bien, mais il ne faisait pas le poids devant trois ou quatre autres de son niveau. L'équipe B se mit donc à marquer des points. Le petit gardien, isolé, se donna à fond, plongeant sur les balles avec bravoure, éperdument, pour tenter de les arrêter. L'équipe B ne tarda pas à marquer deux buts successifs. Le jeune garçon en était exaspéré. Comme un fou enragé, il criait, courait, et plongeait. Rassemblant toute son énergie, il parvint finalement à marquer l’un des garçons qui s'approchait du but. C'est alors que celui-ci fit une passe à l’un de ses coéquipiers à quelques mètres de là, et, avant que notre jeune gardien n’ait pu se repositionner : trop tard ! un troisième but avait été marqué. Je ne tardais pas à repérer ses parents : c'était des gens bien, qui faisaient bonne impression. Je notai que son père était venu directement de son travail, en costume, cravate etc. Les deux parents criaient des encouragements à leur fils. J'étais captivé, observant le garçon sur le terrain et ses parents sur la touche. Après le troisième but, un changement s’opéra chez le bambin. Il se rendit compte que c’était peine perdue : il n'arriverait pas à les arrêter. Il n'abandonnait pas pour autant mais, sans trop le montrer, il se laissait envahir par le désespoir. Un sentiment d’impuissance se lisait sur son visage. L’attitude de son père changea également. Jusque-là, il avait incité son fils à se battre en lui criant conseils et encouragements. Mais à présent il était angoissé. Il essaya de lui dire que tout irait bien, qu’il fallait s'accrocher… Mais on pouvait voir qu’il ressentait profondément la douleur de son gamin. Après le quatrième but, je pressentis ce qui allait se passer. C’était comme un déjà-vu. Le jeune garçon était désespéré, mais il n’y avait personne pour l’aider. Il retira le ballon du filet et le remit à l'arbitre, puis il se mit à pleurer. Il était là, debout, et de grosses larmes lui coulaient sur les joues. Il se laissa tomber sur ses genoux. Et c'est alors que je vis son père se diriger vers le terrain. Sa femme le retenait par le poignet : — Jean, non ! Tu vas l'embarrasser, suppliait-elle. Mais le père du garçon se dégagea et courut sur le terrain. Il n’en avait pas le droit car le jeu n'était pas terminé. Mais il fonça quand même, en costume, cravate, chaussures de ville… Il prit son fils dans les bras afin que tout le monde sache que c’était bien son fils. Il l'étreignit, l'embrassa et pleura avec lui ! Je n'ai jamais été aussi fier d'un homme de toute ma vie. Il le porta hors du terrain, et, lorsqu'ils parvinrent près de la touche, je l'entendis lui dire : — Je suis fier de toi, mon garçon. Tu as été formidable. Je veux que tout le monde sache que tu es mon fils. — Papa, sanglota le garçon, je n'arrivais pas à les arrêter. J'ai essayé, Papa, je n'ai pas arrêté d’essayer mais ils m’ont mis tous ces buts ! — Anthony, ne t’en inquiète pas. Tu es mon fils et je suis fier de toi. Je veux que tu retournes dans tes buts et que tu finisses le jeu. Je sais que tu as envie d'abandonner, mais tu ne peux pas. Et, mon garçon, ils vont encore te marquer des buts, mais ça ne fait rien. Vas-y, c’est le moment. Quelque chose avait changé — je pouvais le voir. Quand on est tout seul contre tous et, qu’en dépit de nos efforts on se fait battre, il est rassurant de savoir que, pour ceux qui nous aiment, cela n’a pas d’importance ! Le petit gars regagna sa place en courant. L'équipe B marqua encore deux buts, mais c’était sans importance. — Auteur anonyme Des psychologues posèrent la question suivante à un groupe d’enfants âgés de quatre à huit ans : Pour vous, c’est quoi, l’amour ?
Les réponses obtenues témoignent d’une profondeur et d’une ouverture d’esprit inattendues chez des enfants de cet âge. Jugez-en vous-même. ♥ L’amour, c’est ce qu’on ressent tout au début, avant que les choses ne se gâtent. ♥ Depuis que ma grand-mère a des rhumatismes, elle ne peut plus se baisser pour se mettre du vernis à ongle sur les orteils. Alors, c’est mon grand-père qui le fait pour elle, même si lui aussi a des rhumatismes. C’est ça l’amour. ♥ Quand quelqu’un m’aime, il a une façon toute spéciale de prononcer mon nom. Alors je peux être sûr que, dans sa bouche, mon nom ne sera pas écorché. ♥ L’amour, c’est ce qui te fait sourire quand tu es fatigué. ♥ L’amour, c’est ce qu’il y a autour du sapin de Noël quand on s’arrête d’ouvrir les cadeaux et qu’on écoute. ♥ L’amour, c’est quand je vais au restaurant et que je partage mes frites avec quelqu’un, sans l’obliger à partager les siennes avec moi. ♥ Pour apprendre à aimer, il faut commencer à aimer un ami qu’on a du mal à supporter. ♥ L’amour, c’est quand on s’embrasse tout le temps. Et puis, quand on est fatigués de s’embrasser, on veut encore rester ensemble, pour parler. Mon papa et ma maman sont comme ça. ♥ L’amour, c’est quand je dis à quelqu’un quelque chose de mal sur moi-même, et que j’ai peur qu’il ne m’aime plus. Mais je suis surpris de voir que ce n’est pas le cas : il m’aime encore plus. ♥ Il y a deux sortes d’amour, notre amour et l’amour de Dieu. Mais c’est Dieu qui a fait les deux. ♥ L’amour, c’est quand Maman donne à Papa la plus grosse part de poulet. ♥ Ma maman m’aime plus que tout le monde. Vous ne verrez jamais personne d’autre me donner un baiser avant que je m’endorme. ♥ L’amour, c’est quand quelqu’un vous fait mal et que vous êtes très en colère, mais vous ne criez pas contre lui, parce que vous ne voulez pas lui faire mal avec vos paroles. ♥ L’amour c’est comme un couple de petits vieux qui sont toujours amis, alors qu’ils ont passé tant d’années ensemble et qu’ils se connaissent si bien. ♥ Il ne faut pas dire « Je t’aime » si on ne le croit pas vraiment. Mais si vous le croyez vraiment, dites-le souvent. Parce qu’on oublie. ♥ L’amour, c’est quand votre petit chien est très heureux de vous retrouver le soir, même si vous l’avez laissé seul toute la journée. |
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