- Un message de Jésus Il n’est pas facile d’élever des enfants dans le monde d’aujourd’hui. Un grand nombre des valeurs que vous souhaitez leur inculquer sont constamment battues en brèche par ceux qui vont dans la direction opposée. Vous vous demandez si tous vos efforts ne sont pas voués à l’échec, vous craignez que vos enfants ne se détournent des valeurs qui vous sont chères. Je sais que parfois vous êtes tentés de baisser les bras, mais surtout, n’en faites rien. Vos efforts et votre amour ne sont pas vains. Vous vous sentez très limités, bien que vous cherchiez à faire de votre mieux. Mais Je suis là pour vous aider, et Je suis capable de faire bien plus que vous ne le pourrez jamais. D’autre part, Je comprends vos enfants, même mieux que vous, et Je sais comment m’y prendre avec eux et leurs problèmes. Je veux vous aider à faire de vos enfants les hommes et les femmes que vous et Moi, nous voulons qu’ils deviennent. Confiez-les Moi en prière. Grâce à la prière, vous pouvez être de meilleurs parents, comme vous souhaitez l’être. Grâce à la prière, vous pouvez protéger vos enfants du mal et des mauvaises influences. Grâce à la prière, vous pouvez trouver Mes solutions à leurs problèmes. Grâce à la prière, Je peux faire ce que vous ne pouvez pas faire. Consacrez un moment chaque jour pour prier pour vos enfants. Chaque fois que vous êtes confrontés à une crise, demandez-Moi la solution. Commencez dès aujourd’hui à être de meilleurs parents grâce à la prière. Par la puissance de la prière, des changements surviendront, des changements que vous n’aviez pas cru possibles. "Mon amour pour toi: A l’heure de l’épreuve", © Aurora Productions. Photo copyright (c) 123RF Stock Photos
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Des parents et enseignants partagent leurs expériences (Ces conseils ne sont pas uniquement valables pour la mémorisation des Écritures : ils peuvent s’appliquer à n’importe quelle matière exigeant un travail de mémorisation.) Comment commencer ?
Avec la musique et le théâtre
Récompenses
Montrer à vos enfants qu’ils comptent pour vous ! Voici quelques idées pour vous mettre sur la voie...
1. Dites-le leur avec des mots. « Je t’aime » : rien de tel que ces trois mots pour leur faire savoir que vous les aimez. Alors, dites-les souvent. 2. Dites-leur pourquoi vous les aimez. Pourquoi vos enfants est-elle importante à vos yeux ? N’ayez pas peur de lui dire, et de façon précise. À la moindre occasion, faites-lui savoir que vous l’admirez, ou que vous l’appréciez. 3. Prenez le temps de les aimer. Passer du temps avec vos enfants, c’est comme lui dire : « Tu es plus important pour moi que toutes les autres choses que je pourrais faire en ce moment. » 4. Faites preuve de constance. Lorsque tout va bien, le fait d’exprimer votre amour fera que les choses iront encore mieux. Et si ça va mal, l’amour pourra tout changer. 5. Montrez-leur de l’affection. Serrez-vous dans les bras l’un de l’autre. N’ayez pas peur de vous toucher. La science a prouvé que le toucher est bénéfique, tant sur le plan physique que mental et émotionnel. 6. Écoutez-les avec votre cœur. Faites l’effort de découvrir qui est vraiment vos enfants, pour la comprendre, au lieu de supposer que vous la connaissez déjà. 7. Montrez-leur du respect Les relations saines sont bâties sur l’admiration et le respect mutuels. Recherchez les occasions de montrer à vos enfants que vous croyez en eux. 8. Mettez-les en premier. Le fait de donner la priorité aux besoins et aux désirs de vos proches montre que leur bien-être et leur bonheur sont plus importants pour vous que les vôtres. 9. Baissez votre garde. Il est souvent humiliant de s’ouvrir aux autres et d’accepter d’être vus par eux tels que vous êtes, mais c’est le prix à payer si vous recherchez l’unité de cœur et d’esprit. — Julie Buhring
L’autre jour, avec des amis, nous discutions de l’élection de Miss Monde, et, depuis, je n’ai pas arrêté d’y penser… Au cours de la cérémonie, les candidates devaient répondre à diverses questions préparées par le jury. Or l’une de ces questions était : « Quel est votre héros préféré ; quelle est la personne que vous admirez le plus au monde ? » Si l’on me posait cette question, que répondrais-je ? Mère Teresa ? Florence Nightingale ? Ou quelque autre personnage célèbre qui, par son dévouement, a inspiré des millions d’hommes et de femmes de par le monde ? Non, la personne que j’admire le plus au monde n’est autre que ma mère. Au cours des 27 dernières années, ma mère n’a cessé de donner d’elle-même : dans de nombreux pays sur trois continents, elle a œuvré en tant que chrétienne bénévole. Depuis cinq ans, elle travaille dans le continent africain. Certes, cela constitue un exploit en soi, mais ce qui est encore plus remarquable, c’est que depuis 23 ans, elle souffre d’une maladie débilitante rare qui s’attaque à toutes ses articulations et qui rend ses moindres mouvements extrêmement douloureux. Néanmoins, si vous la rencontriez pour la première fois, mis à part un léger boitement, vous ne vous douteriez de rien. À mes yeux, c’est ici l’une de ses qualités les plus admirables : bien qu’elle souffre, vous ne l’entendrez jamais se plaindre et vous ne verrez sur ses lèvres qu’un magnifique sourire. Il nous arrive même à nous, ses proches, d’oublier ce qu’elle endure, jusqu’au moment où elle se retire discrètement dans sa chambre et que nous la retrouvons sur son lit, paralysée par la douleur. De surcroît, elle est malentendante et vient de perdre la vision dans un œil. Sa vie sentimentale n’a pas toujours été facile, et elle a connu de grandes déceptions. N’importe qui dirait que la vie de ma mère croule sous le poids de l’adversité, mais elle ne voit que les moments de joie : « Ma vie abonde en bénédictions ! », dit-elle. Je suis persuadée que sa plus grande force lui vient de sa foi en Dieu, et du fait qu’elle se sait aimée par Lui ; et cet amour déborde sur tous ceux qu’elle rencontre. Elle a consacré sa vie au service des autres. Elle en a fait, non seulement sa profession, mais sa façon de vivre. Elle rayonne d’une telle paix, d’un tel amour, d’un tel réconfort, que les gens sont attirés par elle comme par un aimant. Même les plus endurcis viendront s’asseoir auprès d’elle pour lui confier leurs problèmes, leurs craintes et leurs espoirs, et elle sera comme une mère pour chacun d’eux. Ses souffrances l’ont rendue capable de réconforter les autres dans leurs souffrances. Pour moi, c’est cela un vrai chrétien : ce n’est pas celui qui prêche du haut d’une chaire, mais celui qui par sa vie donne un exemple d’amour. Il ne suffit pas d’aimer quand on en a envie, quand tout va pour le mieux et qu’on est en parfaite santé ; quand on n’a pas grand-chose d’autre à faire, ou qu’on a de l’énergie à revendre... L’amour pleure avec ceux qui pleurent, parce qu’il comprend leur chagrin. L’amour offre une épaule compatissante. L’amour, c’est une main qui relève les autres, même quand elle est trop fatiguée pour se relever elle-même. L’amour n’est pas seulement l’affaire d’une heure, ou d’un jour. L’amour est pour toujours. Ma mère n’a rien d’une Miss Monde, mais, à mes yeux, elle est la plus belle de toutes. Elle est remplie d’une grande beauté et d’une grâce intérieure qui transparaît chaque jour de sa vie. Non, elle ne sera jamais célèbre, on ne fera pas mention d’elle dans les livres d’histoire, mais l’amour qu’elle répand vit dès à présent et vivra pour toujours dans la multitude des cœurs qu’elle a touchés. ― Par Chalsey Dooley Ce n’était qu’un sourire, mais ce beau sourire sur le visage de mon bébé transforma complètement ma façon de voir le monde. Lorsqu’il me regarda en se réveillant ce jour-là, il voyait ce qui, pour lui, était le plus important au monde : moi, sa maman ! Sa couche avait besoin d’être changée, mais c’était le moindre de ses soucis. Mon pyjama était dépareillé et mes cheveux en bataille, mais cela n’était pour lui d’aucune importance. Tout ce qui comptait, c’est qu’il m’aimait et qu’il aimait être avec moi. Il ne recherchait pas la perfection. L’amour faisait que tout était parfait. Ces quelques instants de bonheur où je le tenais dans mes bras, où j’absorbais ces bouffées d’amour, clarifièrent bien des choses dans ma tête. J’ai toujours été frustrée par le fait que la perfection n’est pas de ce monde. Souvent j’étais agacée par ce que faisaient ou disaient les gens, et quelque chose en moi se révoltait : « Pourquoi les conflits de personnalités, les injustices, les manques d’égards, le pessimisme, les humiliations, le laisser-aller ? Pourquoi tous ces problèmes ? Si seulement tout ça n’existait pas ! Si seulement les gens, y compris moi-même, pouvaient faire un effort et se prendre en main, enfin mon bonheur serait parfait ! » Je me disais que seule la perfection pourrait dissiper mon irritation. Mais je savais bien que ce n’était pas possible. La perfection n’est pas de ce monde. Il fallait que je trouve une autre issue. À bien y réfléchir, je me rendis compte qu’en fait, tout ce que je voulais c’est que le monde tourne autour de moi, qu’il se plie à mes désirs, à mes préférences, à mes priorités. Mais ça ne pouvait pas marcher comme ça : il fallait que quelqu’un change et ce quelqu’un, c’était moi. Même si les autres étaient loin d’être parfaits. Mais comment faire ? Ce n’était pas la première fois que j’essayais. Ce matin-là, alors que je tenais mon bébé dans les bras, cette petite pensée m’effleura : « Aimerais-tu que ton bébé soit parfait dès la naissance ? » Pour rien au monde je ne voudrais une chose pareille. S’il était capable de marcher et de courir dès sa naissance, je ne pourrais jamais voir l’expression de plaisir et de satisfaction sur son visage lorsqu’il ferait ses premiers pas ; et je ne connaîtrais jamais le bonheur de le tenir dans mes bras et de savoir qu’il dépend entièrement de moi. S’il savait parler à la naissance, je n’aurais jamais la joie de l’entendre prononcer ses premiers mots. S’il savait autant de choses qu’un adulte, je n’aurais jamais l’occasion de le voir s’émerveiller en découvrant le monde, et je n’aurais jamais la satisfaction de lui apprendre quelque chose de nouveau. Je passerais à côté de tant de plaisirs ! À tout bien considérer, c’est parfait que mon bébé soit imparfait ! Je ne voudrais pas qu’il en soit autrement ! Mais alors, me demandai-je, qu’est-ce qui fait que son imperfection est différente des autres imperfections auxquelles je me butte tous les jours ? Et, tout à coup, la réponse me sauta aux yeux : « C’est l’amour ! » L’amour fait toute la différence. C’est ça qui me manquait ! C’est ce qu’il me fallait pour pouvoir affronter bravement les problèmes qui, à mon sens, ne devraient pas exister. Regarde un peu tout ce que tu perdrais si toi-même, et tous les gens qui t’entourent, étiez parfaits dès le départ. La vie perdrait son caractère imprévisible et son élément de surprise ; tu perdrais la joie de pardonner et d’être pardonnée, les solides liens de l’amitié et la force de caractère qui se forgent dans l’adversité. Maintenant tout était plus clair. Ce n’est certainement pas en réagissant négativement à une situation négative qu’on peut arriver à un résultat positif. Alors, je résolus de rechercher activement les occasions et les expériences enrichissantes qui se cachent sous le masque de l’imperfection. Ce jour-là, comme mon bébé n’arrivait pas à s’endormir, je décidai de mettre en pratique cette leçon toute fraîche et de tirer le meilleur parti de la difficulté. Je changeai mes plans : mon mari et moi prîmes le temps de chanter et de jouer avec notre bébé. Ce fut un moment merveilleux, que nous aurions manqué si tout avait été « parfait ». Article tiré du magazine Activé. |
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