Pour éviter de l’apprendre à la dure…
On s’inquiète de ce que l’enfant sera demain, mais on oublie qu’il est déjà quelqu’un. — Stacia Tauscher Il y a tant de choses que vous pouvez apprendre des enfants… Quel est votre degré de patience, par exemple. — Franklin P.Jones Pour vous aider à approfondir vos croyances, il n’y a rien de tel que de chercher à les expliquer à un enfant doté de curiosité. – Frank A. Clark Chaque enfant vient au monde avec le message que Dieu n’est pas encore découragé par l’homme. – Rabindranath Tagore Aux yeux d’un enfant, les sept merveilles du monde, ça ne veut rien dire. Il y en a sept millions. – Walt Streightiff Pour élever un enfant dans le chemin qu’il doit suivre, suivez ce chemin vous-même. – Josh Billings Il n’y a pas que les enfants qui grandissent. Les parents font de même. Nous regardons nos enfants pour voir ce qu’ils font de leur vie, mais eux aussi nous regardent pour voir ce que nous faisons de la nôtre. Je ne peux pas demander à mes enfants de décrocher les étoiles. Je peux seulement viser d’en faire autant moi-même. – Joyce Maynard Ne vous inquiétez pas du fait que vos enfants n’écoutent jamais ce que vous dites ; inquiétez du fait qu’ils regardent toujours ce que vous faites. – Robert Fulghum Y a-t-il quelque chose que nous souhaiterions changer chez notre enfant ? Examinons d’abord s’il ne s’agit pas plutôt de quelque chose que nous pourrions changer en nous-même. – C.G. Jung Les enfants ont besoin de modèles plus que de juges. – Carolyn Coats Ce qu’un enfant n’a pas reçu, il est rare qu’il puisse le donner plus tard. – P.D. James Si vous voulez que vos enfants fassent des progrès, faites en sorte qu’ils entendent les bonnes choses que vous racontez aux autres à leur sujet. – Haim Ginott Dans l’éducation de vos enfants, dépensez deux fois moins en argent et deux fois plus en temps. — Auteur inconnu Comme on traite les enfants, ainsi traiteront-ils la société. – Karl Menniger Vous avez toute la vie pour travailler, mais les enfants ne restent enfants que pour un temps. — Proverbe polonais. Pour un enfant, le mot « amour » s’épelle T.E.M.P.S. – John Crudele Les hommes qui ont peur de devenir père ne comprennent pas qu’être père ne demande pas d’être parfait, mais c’est quelque chose qui perfectionne l’homme. Le produit final de l’éducation d’un enfant n’est pas seulement l’enfant mais le parent. — Frank Pittman
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![]() De Jésus Il n’est pas facile d’élever des enfants dans le monde d’aujourd’hui. Un grand nombre des valeurs que vous souhaitez leur inculquer sont constamment battues en brèche par ceux qui vont dans la direction opposée. Vous vous demandez si tous vos efforts ne sont pas voués à l’échec, vous craignez que vos enfants ne se détournent des valeurs qui vous sont chères. Je sais que parfois vous êtes tentés de baisser les bras, mais surtout, n’en faites rien. Vos efforts et votre amour ne sont pas vains. Vous vous sentez très limités, bien que vous cherchiez à faire de votre mieux. Mais Je suis là pour vous aider, et Je suis capable de faire bien plus que vous ne le pourrez jamais. D’autre part, Je comprends vos enfants, même mieux que vous, et Je sais comment m’y prendre avec eux et leurs problèmes. Je veux vous aider à faire de vos enfants les hommes et les femmes que vous et Moi, nous voulons qu’ils deviennent. Confiez-les Moi en prière. Grâce à la prière, vous pouvez être de meilleurs parents, comme vous souhaitez l’être. Grâce à la prière, vous pouvez protéger vos enfants du mal et des mauvaises influences. Grâce à la prière, vous pouvez trouver Mes solutions à leurs problèmes. Grâce à la prière, Je peux faire ce que vous ne pouvez pas faire. Consacrez un moment chaque jour pour prier pour vos enfants. Chaque fois que vous êtes confrontés à une crise, demandez-Moi la solution. Commencez dès aujourd’hui à être de meilleurs parents grâce à la prière. Par la puissance de la prière, des changements surviendront, des changements que vous n’aviez pas cru possibles. Avec l'aimable autorisation de Mon amour pour toi, à l'heure de l'épreuve
― Par John London Je me précipitai au supermarché pour acheter quelques cadeaux de dernière minute. En voyant la cohue, je me mis à ronchonner. Cette petite course allait me prendre une éternité, alors que j’avais une myriade de choses à faire. Décidemment, Noël commençait à me peser. Si seulement je pouvais m’endormir pour ne me réveiller qu’après les fêtes ! Décidant de me dépêcher, je me frayai un chemin jusqu’au rayon des jouets. À nouveau, je grognai à la vue des prix, qui étaient exorbitants. Mes petits enfants seraient-ils même intéressés à ce que j’allais leur acheter ? Je me retrouvai dans l’allée des poupées. Du coin de l’œil, j’aperçus un gamin d’environ cinq ans qui tenait dans ses bras une adorable poupée. Il lui caressait les cheveux et la serrait doucement contre lui. Je ne pouvais détacher mon regard de ce petit bonhomme, me demandant à qui la poupée était destinée. Je le vis se tourner vers une dame : ― Ma tante, es-tu sûre que je n’ai pas assez de sous ? ― Tu sais bien que tu n’as pas assez d’argent pour acheter ça, lui répondit-elle avec une pointe d’impatience. La tante lui ordonna de rester sur place pendant qu’elle finirait ses emplettes, l’affaire de quelques minutes. Elle quitta le rayon. Le petit garçon continuait de tenir la poupée. Après quelques secondes d’hésitation, je lui demandai pour qui elle était. ― C’est la poupée que ma sœur voulait absolument pour Noël. Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait. ― Et je suis certain qu’il va le faire, ajoutai-je. ― Non, répondit-il. Le Père Noël ne peut pas aller là où elle se trouve maintenant… Il faut que je la donne à ma maman pour qu’elle lui amène. ― Où donc est ta sœur ? lui demandai-je. Me regardant de ses yeux les plus tristes, il me confia : ― Elle est allée avec Jésus. Mon papa dit que Maman va devoir la rejoindre. Mon cœur faillit s’arrêter de battre. Alors le gamin, relevant les yeux, ajouta : ― J’ai demandé à Papa que Maman ne parte pas tout de suite, mais qu’elle attende que je revienne du magasin. Puis il me montra une photo de lui qui avait été prise à l’entrée de la galerie marchande. ― Je veux que Maman l’emmène avec elle pour qu’elle ne m’oublie jamais. J’aime beaucoup ma maman et j’aimerais tant qu’elle puisse rester, mais Papa dit qu’elle doit aller retrouver ma petite sœur. Je constatai que l’enfant baissait la tête et que, tout d’un coup, il était devenu silencieux. Profitant de ses quelques instants d’inattention, je tirai une liasse de billets de mon portefeuille, puis lui proposai : ― Et si nous recomptions ton argent encore une fois, pour être sûrs ? ― Oh oui ! fit-il, en reprenant espoir. Je pris son argent dans ma main ; discrètement, j’y ajoutai le mien, et nous nous mîmes à recompter. Bien entendu, il y avait plus qu’assez pour la poupée. ― Merci Jésus de m’avoir donné assez de sous, fit l’enfant. Je Lui ai demandé de me donner ce qu’il fallait pour acheter cette poupée, pour que Maman puisse l’amener à ma petite sœur, et Il a entendu ma prière. Je voulais aussi Lui demander assez d’argent pour acheter une rose blanche à Maman, mais j’ai oublié. Mais Il m’a donné assez de sous pour acheter les deux ! Maman adore les roses blanches. Quelques minutes plus tard, la tante revint. Je m’éclipsai avec mon caddie. Pendant tout le reste des courses, je ne pus m’empêcher de penser à ce gamin. Lorsque je quittai le magasin, je n’étais plus le même. Cela me rappelait étrangement un fait divers que j’avais lu dans le journal quelques jours plus tôt, et l’article me revenait sans cesse à l’esprit : un conducteur en état d’ivresse était entré en collision avec une autre voiture et avait tué une petite fille ; quant à la maman, elle était dans un état critique. La famille devait décider s’il fallait ou non la maintenir en vie artificiellement. Mais ce petit garçon n’avait probablement rien à voir avec cette histoire… Deux jours plus tard, je lisais dans le journal que la famille avait décidé de mettre un terme aux efforts de réanimation, et que la jeune femme était décédée. Je ne pouvais oublier le gamin et je n’arrêtais pas de me demander s’il y avait un rapport entre les deux histoires. Un peu plus tard, ce même jour, n’y tenant plus, je sortis acheter un bouquet de roses blanches et me rendis à la chapelle ardente où reposait la dépouille de la jeune femme. Elle était allongée là, tenant en effet dans ses mains une jolie rose blanche, l’adorable poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. Après avoir déposé les roses, je sortis en pleurs, bouleversé par l’amour d’un enfant pour sa maman et sa petite sœur. « On gagne sa vie grâce aux choses que l’on reçoit, mais c’est en donnant qu’on la réussit. » Article courtesy of www.lebongrain.com
Auteur inconnu
Un homme d’affaires américain de passage au Mexique se promenait sur la jetée d’un petit port de pêche, lorsqu’une modeste embarcation accosta. À bord il y avait un pêcheur solitaire. L’Américain, impressionné par la taille des thons qu’il avait pris, le complimenta sur la qualité de sa pêche et lui demanda combien de temps il lui avait fallu pour les attraper. — Oh, pas très longtemps, répliqua le pêcheur ! Le touriste alors voulut savoir pourquoi il n’était pas resté en mer plus longtemps de façon à en attraper davantage. Ce dernier répondit qu’il avait pêché suffisamment pour nourrir sa famille. — Mais alors, poursuivit l’autre, que faites-vous le reste du temps ? — Oh, je fais la grasse matinée, je joue avec mes enfants, je fais la siesta avec Maria, ma femme. Et le soir venu, je me promène dans le village, ou je gratte la guitare autour d’un petit verre en compagnie de mes amigos... Vous savez, señor, j’ai une vie bien remplie ! L’Américain repartit sur un ton un peu moqueur : — Je suis diplômé d’Harvard, alors permettez-moi de vous donner un bon conseil : vous devriez passer plus de temps à pêcher ! Avec la recette de votre pêche, vous pourriez vous acheter un plus gros bateau. Ensuite, avec vos nouveaux profits, vous pourriez en acheter plusieurs autres. Et au bout du compte, vous posséderiez toute une flottille de bateaux de pêche. Et là, au lieu de vendre à l’intermédiaire, vous pourriez vendre directement à un industriel. Ou mieux encore, monter votre propre usine de conserves... Si bien que vous pourriez contrôler toute la chaîne, de la production à la distribution en passant par la transformation. Préparez-vous, bien-sûr, à quitter votre petit village pour aller habiter à Mexico City, puis à Los Angeles, et finalement à New York, d’où vous pourrez diriger votre florissante entreprise... Au bout de quelques instants de réflexion, notre pêcheur lui demanda : — Et combien de temps tout cela prendra-t-il, señor ? — Oh, pas plus de quinze ou vingt ans. — Et ensuite, señor ? — Ensuite… ? reprit l’Américain en riant de l’innocence de son interlocuteur, ensuite, au moment opportun, vous vendrez toutes les actions de votre société et vous deviendrez très riche. Vous aurez gagné des millions ! — Des millions, señor ? Et ensuite ? — Ensuite, poursuivit l’homme d’affaires, vous pourrez prendre votre retraite et vous installer dans un petit port de pêche, sur la côte. Là, vous pourrez pêcher un peu, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, faire la siesta avec votre femme Maria et, le soir venu, vous vous promènerez dans le village ou vous gratterez de la guitare autour d’un petit verre en compagnie de vos amigos...” Récemment, deux de mes enfants sont devenus parents à leur tour, et ce que j’avais appris au fil des années s’est vu confirmé : le fait d’être papa ou maman nous force à donner le meilleur de nous-mêmes. C’est tout de suite un choc pour les nouveaux parents, sur le plan émotionnel comme sur le plan physique : il y a ce lien d’amour qui, dès le premier instant, les unit à ce petit être, et qui grandit jour après jour, les interruptions de sommeil, l’emploi du temps et les priorités qui se trouvent bousculés... Mais il y a aussi les changements moins perceptibles, ceux que les autres sont généralement les premiers à remarquer : comme cette aura que Dieu réserve aux nouveaux parents, et la maturité qui vient du dépassement de soi et des sacrifices qu’il faut consentir pour répondre aux besoins de bébé.
Il fut un temps où j’étais convaincu qu’il n’y avait pas plus grande fierté que de ramener chez soi un nouveau-né, et je l’ai ressentie à chaque nouvelle naissance. Mais à présent, je dirais qu’il y a encore plus de fierté à être grand-parent. Parce que, chaque fois que cela m’arrive (j’ai 11 petits-enfants), je suis doublement fier : fier d’avoir un nouveau petit-fils ou une nouvelle petite-fille et, en même temps, fier de ses parents. Eh bien, maintenant que vous savez que je suis grand-père, vous vous demandez peut-être si j’ai des conseils à donner aux jeunes parents. Pourquoi pas, après tout ? Vous connaissez déjà ces trois grands principes : aimez vos enfants quoi qu’il arrive, dites-leur souvent que vous les aimez, et consacrez-leur des moments de qualité, car rien n’est plus important. J’en ajouterais un autre : je crois qu’une des meilleures choses que les parents puissent faire, c’est de laisser leurs enfants être eux-mêmes. Comme la plupart des parents, vous voulez sans doute que vos enfants excellent. Il est bon de vouloir les aider à réaliser tout leur potentiel, mais de là à vous montrer trop exigeant envers eux ou envers vous-même, il n’y a qu’un pas. Vos enfants ne seront jamais parfaits, pas plus que vous. Alors, apprenez à célébrer les succès sans trop vous inquiéter du reste. Privilégiez l’amour et la confiance plutôt que la perfection, et vous tisserez des liens pour la vie, des liens qui vous garderont unis dans toutes les joies et les peines. Je souhaite donc beaucoup de bonheur aux parents ! Et beaucoup de bonheur aux grands-parents, eux qui ont la chance d’être doublement bénis ! - Keith Phillips Publié originalement dans le magazine Activé. Utilisé avec permission. Il y a près de deux siècles, les hommes suivaient avec stupeur la conquête de l’Europe par Napoléon Bonaparte. Pendant ce temps, dans d’humbles foyers, naissaient des bébés. Mais qui donc se souciaient des bébés? On n’avait d’yeux que pour les batailles! Pourtant, cette année-là, pour ne parler que de 1809, plusieurs enfants virent le jour, qui allaient devenir de magnifiques étoiles dans le ciel de l’Histoire: William Gladstone, considéré comme le plus grand homme d'état britannique du 19ème siècle; Abraham Lincoln, l'un des plus illustres présidents américains; Alfred Lord Tennyson, le célèbre poète anglais; et Louis Braille, l'inventeur aveugle du système de lecture Braille à l’intention des non-voyants! Mais à la naissance de ces bébés, nul ne pensait à eux; on ne s'inquiétait que des guerres. Et pourtant, quelle bataille de 1809 pesa davantage sur l’Histoire que les bébés nés en 1809? Certains s'imaginent que Dieu ne peut changer le monde sans gros bataillons, alors que c'est avec des bébés qu'Il le fait! Chaque fois qu'une injustice doit être redressée, qu'une vérité doit être proclamée, c’est à un bébé que Dieu confie cette mission! Text copyright © TFI. Courtoisie de www.lebongrain.com. Diaporama dédié aux mères pour la Fête des Mères. Pour télécharger la présentation, cliquez droit sur le fichier et sélectionnez "Enregistrer" ou "Enregistrer sous" ![]()
Vous avez peut-être fait beaucoup de choses pour vous-même ou pour l’humanité, mais si vous ne pouvez pas regarder en arrière en vous disant que vous avez donné de l’amour et porté de l’attention à votre propre famille, qu’avez-vous vraiment accompli ? — Lee Iacocca *** Au cours de toutes mes années de pratique, je n’ai jamais entendu mes jeunes clients (les enfants) me parler de « temps qualité ». Tout ce qu’un enfant demande, c’est votre temps et votre attention, que ce soit pour le regarder sauter ou faire des galipettes, ou pour l’emmener au Mac Do... Essayez de trouver du temps pour vos enfants, mais ne vous souciez pas trop de l’aspect « qualité ». Donnez-leur tout le temps que vous pouvez leur donner, et la qualité suivra. — Kevin Leman *** Passez du temps avec ceux que vous aimez. Un de ces jours, ou bien vous vous direz : « Si seulement je l’avais fait », ou bien : « Je suis content de l’avoir fait. » — Zig Ziglar (1926-2012) *** "Je regrette d’avoir accordé autant d’importance à mon travail." Voilà quelque chose que m’ont dit tous les patients masculins dont j’ai eu à m’occuper. Ils avaient à peine vu grandir leurs enfants et ils regrettaient de ne pas avoir passé davantage de temps avec leur compagne. Les femmes ont exprimé le même regret. Mais, étant donné que la plupart appartenaient à l’ancienne génération, nombre d’entre elles n’avaient jamais eu à travailler pour subvenir aux besoins de leur foyer. Tous les hommes que j’ai soignés regrettaient profondément d’avoir été les esclaves du « métro-boulot-dodo ». Si vous simplifiez votre style de vie, si vous vous appliquez à faire les bons choix, vous vous rendrez sans doute compte que vous n’avez pas besoin de gagner autant. En vous réservant plus d’espace pour vivre, vous serez plus heureux, plus disponible par rapport à toutes les opportunités qui pourront s’offrir à vous et qui correspondront davantage à votre nouveau mode de vie. – Bronnie Ware, Traduit de l’original anglais «The Top Five Regrets of the Dying» (Les cinq grands regrets des personnes en fin de vie) Courtesy of www.lebongrain.com |
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